c'est sans doute une longue histoire aux textes philosophique que j'émerai vous conter là , mais sa durer est trop longue, je vien a peine de la commencer bien que j'ai toute l'histoire en tête. Voila, je vous envoi donc, seleument le prologue, je verrai après si je continu a vous envoyer la suite
ps: le prologue est très très cours
Le jour était terne et les paupières du ciel se refermaient sur un triste rayon de l’astre, des larmes tranchantes défoulaient leurs rages sur le terrain de l’enfer, le souffle de l’être joué entre les mâchoires du mal hurlaient aux joyaux sanguinolents, le dernier pétale d’un arbre, seul espoir abstrait de la croyance de l’être due demeurer intact jusqu'à ce moment, jusqu'à la fin ….
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Bien que étant ennuie, tu aimeras la vie
Tu ne te pauseras point de questions
Mais tu sauras que l'être est de chair
Et jamais il ne te sera cher
car dans ses yeux tu ne peux lire
car dans ses actes tu ne peux rire
Et tu auras alors ton monde
ou ta