(Bonjour, j'ai écrit un extrait de mon roman inspiré de ma nouvelle "Tu vas le payer très cher" de laquelle j'ai deux versions" mais à l'inverse de la nouvelle dont les personnages sont français, les personnages de mon roman sont des algeriens)
Tu vas le payer très cher
Premier chapitre :
LE QUOTIDIEN DE LA FEMME DU MÉDECIN
-Le petit déjeuner est prêt.
-Maman je ne veux pas de confiture sur ma tartine, je veux du Nutella.
-Bien mon chéri
-Et moi je veux un morceau du gâteau au chocolat.
-Oui mon chat.
-Meriem tu n’as pas vu ma chemise bleue ?
-Elle est dans la penderie.
-Tu sais j’ai deux interventions aujourd’hui, je crois que je vais annuler certaines consultations, je suis déjà en retard au revoir tout le monde.
-Passe une bonne journée mon chéri, à ce soir.
-Moustapha, Ibtissem allez vous préparer pour l’école, je vais vous faire des sandwichs.
-Oui maman.
-Au revoir les enfants soyez sages.
Pondant l’absence des enfants et de son époux, Meriem fait le ménage et prépare le déjeuner.
Elle déjeune et va chercher ses enfants à l’école.
En route, Meriem rencontre sa voisine Linda
-Bonjour Meriem.
-Bonjour Linda.
-Comment ça va aujourd’hui ?
-Bien, et toi ?
-Ça va bien merci, c’est une belle journée, n’est ce pas ?
- Oui, alors tu vas chercher les enfants à l’école ?
- Oui, et toi tu vas faire les courses comme Ă ton habitude ?
-C’est ça, bon je te laisse bonne journée !
-Bonne journée, à bientôt.
- C’est maman qui arrive.
- Alors comment c’était la journée ?
-Bien, aujourd’hui la maitresse nous a appris à connaitre les mots en singuliers et en pluriels c’était super.
La famille rentre à la maison, pendant que la maman prépare le goûter, les enfants vont dans leurs chambres pour faire les devoirs.
A 18h30 Hakim le père rentre du boulot et dit bonjour à Meriem.
-Alors les enfants sont entrain de faire les devoirs ?
-Oui, en plus ils sont sages comme une image, je n’ai pas du tout entendu du bruit depuis tout à l’heure.
-Qu’est-ce que tu nous as mijoté pour le dîner ?
- Du couscous avec une sauce rouge avec des légumes et je les ai même préparés avec du piment comme tu aimes.
-Alors on va bien se régaler.
- Vous venez les enfants c’est l’heure du dîner, à table.
S.B
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La gentillesse et l'humilité ne constituent pas une faiblesse mais une grande sagesse.
