Tu vas le payer très cher : (Version 2)

-Bonjour monsieur Picard, vous nous avez appelés tout à l’heure pour nous prévenir qu’il y a eu meurtre.
-je vous en prie entrez !
-Je suis le lieutenant Robert Dutronc de la criminelle. A partir d’aujourd’hui cette maison est une scène de crime.
-Tu as vu Robert, qui a pu tuer sauvagement cette femme, en plus avec une balle dans la tète, cela doit être affreux, le mari doit être sous le choque. C’est lui qui nous a appelés pour signaler le crime.
Qui a pu faire une chose pareille ?
-Monsieur Picard, j’ai des questions à vous poser, connaissez vous des gens qui peuvent vous en vouloir pour commettre une horreur pareil ?
-Je suis médecin, et je ne sais pas qui a pu faire ça ? Je dois dire aussi que mon bureau est saccagé avec écrit sur le mur « Tu vas le payer très cher » et puis on m’a menacé par téléphone peu après que j’ai découvert le carnage, et puis en rentrant à la maison j’ai trouvé mon épouse morte dans le salon, mes enfants n’étaient pas à la maison, je les ai appelés pour leur demander d’aller chez leur grand-mère sans leur expliquer ce qui vient de se passer.
- Je vais m’occuper de prélever les indices, chaque détail, pourrait nous conduire à l’assassin.
-Monsieur Picard, si vous avez la moindre information qui pourrait nous aider, n’hésitez pas à m’appeler voici ma carte.
- Déjà on peut faire une hypothèse sur ce qui vient de se passer, tout d’abord on remarque que la porte a été forcé pour entrer, donc le meurtrier a forcé la porte pour entrer, et puis il y a des débris de vase par terre, on peut imaginer que la victime a essayé de se défendre en frappant le malfaiteur avec le vase, donc les traces de sangs par terre peuvent appartenir à la victime comme au meurtrier.
On va les prélever pour les analyser au laboratoire.

Deux jours après, le mari appelle la police pour signaler encore le meurtre de ses deux enfants.

La police est choquée, et essayent comme elle peut pour réconforté le médecin, en lui promettant qu’ils vont faire tout ce qu’ils peuvent pour trouver le meurtrier.

Le résultat de l’analyse ADN, réveille que l’un d’eux appartient à un certain Pascal Dumas, c’est là que l’un des policiers leurs dit qu’il était il y a quelques jours dans la clinique de Monsieur Picard, et cette personne était chez ce médecin sous le nom de Paul Jurin et qu’il était son nouvel infirmier, et en questionnant le médecin, il lui a révélé qu’une Marie Dumas était l’une de ses patientes, et qu’il a pratiqué sur elle une intervention pour enlever le kyste qu’elle avait dans son ventre et qu’elle est morte pendant l’opération.

Les policiers comprennent alors que Pascal Dumas pourrait être le mari de Marie Dumas et qu’il a tué la famille du médecin pour se venger.

Les forces de l’ordre vont alors à la clinique pour arrêter le malfaiteur.

En arrivant ils trouvent le faux infirmier étendu sur le sol mort et le médecin leur explique, que cet individu a essayé de le tuer et c’est en essayant de lui enlever son arme.

la balle à atteint le criminel au ventre et qu’il est mort quelques instants après et avant de mourir il lui avait avoué qu’il avait tué sa famille et qu’il allait le tuer aussi et Picard l’a tué en cas de légitime défonce pour sauver sa propre vie.

Ainsi la police trouve celui qui a tué la famille du médecin et classe aussitôt l’affaire.

Le médecin était soulagé de trouver celui qui a tué sa femme et ses deux enfants mais il arrêtait pas de se culpabiliser et de se dire que c'est en quelque sorte a cause de lui que sa famille est partie vu que le criminel les a tués pour se venger du médecin qui a raté l'intervention de la femme du meurtrier, et qu'il doit vivre avec tout ça tout le reste de sa vie.

S.B

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La gentillesse et l'humilité ne constituent pas une faiblesse mais une grande sagesse.