Plume d'or Inscrit le: 18/6/2007 De: Malaga |
Prose paradisiaque Odeur de rose, cils encore humides, dehors tu te balances, et j'aime te voir jouer couleur de prose, ton sourire se dessine, moi dedans je te pense, et refais ton portrait
Avec des mots à moi, des mouvements peut-être, je te regarde, te fixe, du bord de ma fenêtre et ce vent encore frais, cette rosée matinale, me rend tendre, me renferme, un peu sentimental
Le soleil t'inonde et change tes reflets, ce matin c'est étrange, le lit n'est pas défait et cette brise si douce qui éclaire ton sourire, que faire? Sortir? Rester? Non, t'écrire....
T'écrire encore et encore et encore.........
Tiens, tu sautes dans le pré et tu rigoles seule, tu cueilles deux pensées, un trèfle à quatre feuilles tu t'approches, tu t'éloignes, tu vacilles et tu danses je m'accroche, et m'empoigne, un regard je te lance
un sourire complice, vient briser mon carreaux, le bois de la fenêtre, tremble autant que mon coeur, tiens si je sortais, la réponse est évidente, j'arrive pour t'embrasser et pleurer de bonheur
Le soleil t'inonde et change tes reflets, ce matin c'est étrange, le lit n'est pas défait Et ce vent encore frais cette rosée matinale, me fait comprendre que je rêve, je rêve et ça fait mal....
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