Il regardait les étoiles qui lui riaient au nez. Devant elles, il écrivait des symphonies de haine, lui brulant son être,avec les larmes seules pour le refoidir. Il attendait le crépuscule enchanté, son regard au loin, fuyant vers la montagnes ensanglantée. Elle se tenait au loin, embrassant la lune du bout de ses lèvres. Leurs étreintes furent d'autant plus magnifique par le ciel qui les séparraient. L'homme buvait le sang de la terre, s'en ennivrait et en devint comme fou. Fou d'être aussi fou que le plus fou des fous sombrant au fond du trou laissé pour mort aux loups. L'homme fou était emplie de haine, lui qui autrefois fut agneau, n'est à présent plus qu'un mangeur d'èespoire, de vie et de rêve. L'homme fou furieux sombra dans les méandres de ses plus sombres désirs. Rejoingnant ainsi l'obscur, n'étant plus vêtu que de sa tristesse, de sa haine et de ses habits noires, il devint mieux que Dieu et pire que le Diable ; il devint humain.

wow très bon! avec des images fortes! thumbs up!

Cette terrible pyrotechnie qui finit en haillons, cette vision de la créature humaine, ne m'est pas toujours étrangère.


C'est la totalité qui tourmente, hélas, et qui fait vivre !


Mes amitiés sincères,

Castelajak.