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A l´ami de Paul Paul était là ... Paul était triste A mettre un sanglot comme on dépose la gerbe, Imaculée conception de la fatalité, Xénélasie de sa douleur à l´âme.
Paul était triste.... Mais revenu, Obéissant au devoir d´amitié, Une larme lâchée à sa fidélité au devoir, Retenu à ne penser qu´à vous.
Triste instant, monsieur le curé, Oh oui ! Paul était triste et moi ravi, Un tabernacle s´ouvrant de fidélité, Tant l´amitié de vous est bouleversement, Egale à ce dire de vous qu´il se dût !
Amen ! En cette église de vous, Moi paien je vous pense, pudiques, Epris de l´autre au delà de tout.
Est-il plus beau deuil que d´amour ? Nu est ce recueil, lavé, pur ! Vole donc cette âme dérobée Où se trouve celui en qui vous croyez, Légère, blanche que vous en souriiez Ensemble comme toujours vous le fîtes Et que nos sanglots épousent les vôtres.
Tadamadon
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