Que mes vers étaient amoureux de toi Marie .
Marie, je projette vers toi, mes regards langoureux
Avec mon amertume si lasse qu'Ã peine, je le porte,
Et l'air du ciel, que vous respirez, me conforte
Je chemine vers la Voie lactée en disant : que je suis heureux !
À un détour de mes pensées pour Marie, je pense soucieux,
Je pense Marie au long chemin, et aux jours, qui nous emporte.
Alors, je m'arrête, et j’avais mon âme à demi morte,
Vers l’espace immense de notre amour, j'abaisse mes yeux.
Au milieu de mes regrets quelquefois je me méfie
Parce que toi seul, Marie pouvait me soutenir
Près du seul souffle d’amour, qui seul nous vivifie.
Mais nous répond notre amour, ravi à nos souvenirs
Que mes vers étaient amoureux de toi Marie, est ! Un privilège,
D’abnégation, à nous aimer, et ce corps fleuri d’astres qui S’allège ?
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bernard 138
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