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Mon ami, allons voir ce que le cerf rumine
Là-bas, dans son écrin, plus loin que la lisière ;
Je le vois si serein à quitter sa litière,
A ne pas laisser choir sa corne qui culmine.

Entendez-vous son cri ? On dirait qu’il fulmine ;
Un autre prétendant a quitté sa chaumière.
Il lui dit, combattant, qu’il recherche rombière
Qu’il s’est aussi inscrit grâce au port de sa mine.

Je sais que nos filets, d’habitude tendus,
Nos arcs et nos gilets resteront bien pendus.
D’aucun trait meurtrier ne coulera le sang.

Dîtes moi, sans égards, si vous êtes séduit,
Si vos yeux tout hagards vous voient là éconduit.
Apprenez à trier pour hisser votre rang.


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