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Parachutée Parachutee
Il faut se pardonner, il faut se... parachuter en enfance en enfer en infini de fractales esseulées...puis ils faut se ramasser...se laisser la, ou pas!. En enfer, peut être, le sable noir nous avale et on respire enfin...en enfin en enfer peut être on respire enfin comme un enfant qui s'enfante, en enfer, du moins...comme une fanfare qui s'enfouit....
Mon enfant, mon jumeau, mon jumeau, jumelage des chairs et de sang de guerres et de sens...Dans tous les sens et du sol au plafond parfois au parfois du sol au parfois il y aura tes larmes nos corps dépeuplés...dépeuplés...déguisés déshabillés esseulés...toujours.
Un silhouette entraperçue dans mes draps qui n'était pas moi. Ni toi. Une silhouette qui se téléporte.. L'ombre de moi même , l'ambre de la reine, comme une agonie qui n'en finit plus avec sous le ventre des tortues, sous la tente des tortures un soleil noir qui brille sale..
Sous la voute des tortures, l'étoffe des corps qui baille sale, qui branloire pérenne. L'étoffe usée des corps qui s'éloigne. Jute de chair et de sens, dans tous les soirs, des cendres. Cendres et ce fut ton sang unilatéralement et dans tous les sang criés...dans tous les encriers, qui gribouillent ton nom d'astre..
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