Plume d'argent Inscrit le: 23/7/2011 De: |
"Légitime éffraction"(revue et corrigéé mea culpa artistique") Caché depuis trop longtemps,l’œil observateur, Derrière les buissons du talent révélateur, Sous les rideaux des phrases de bel orateur, Qui cache l’aube des désirs salvateurs,, J’ai vu s’entrouvrir la lanterne poétique et sa sombre lueur, Regardant les ruelles des vos inspirations,le voisinage Pour que personne n’alerte mon cambriolage, J’ai attendu le bon moment , pour rentrer par légitime effraction, Habillé de collants sur la ma tête en sueur, J’ai placé sur le visage de mes phrases en une fraction, une cagoule de métaphore ,une cagoule de pudeur De grande bottes noires le désespoir et ses crampons
Grâce a cette vitre de vers légèrement levée, Un espace suffisant pour m’immiscer entre cette vitrine de vers, J’ai donc soulevé la vitre plein de buée de cette fenêtre Je m’y suis glisser ,pour m’introduire judicieusement Je n’ai pas voulus m’introduire inopinément par la porte directe de l’évidence Préférant passer par la fenêtre de l’ambiguïté temporairement.
Pas besoin de fracasser la serrure artistique de la porte de vos cœurs pour qu’il danse, Sous la valse des mot mélodique. Le savoir m’a servit de passe partout universel,
Une fois à l’intérieur,statique Sous les lueur de ma lampe torche démentielle, Tant de combinaisons métaphoriques, Pour trouver le code du coffre fort,de l’art poétique ,
Munit des gants noir, sombre lueur de la subtilité, D’un chalumeau de mots brûlants , que je dois utilisé avec dextérité Quand la flamme de la poésie me rend truculent Au chalumeau des mots acrobatiques, J’ai donc essayé de faire fondre ce cadenas artistique, Pour qu’il me laisse introduire la clé de la réussite,du talent prolifique.
Mais soudain par inadvertance, J’ai jouis de malchance, J’ai éternué des mots tel un corrompu oui c’est l’éternuement de mots obsolètes Le silence s’est donc rompu, cela a réveille inexorablement le gardien de l’art ,net Dormant bien profondément auparavant dans la maisonnette
J’ai donc du séquestrer un coût instant, Dans une pièce sombre et sordide, Cette entité que l’on appelle le talent Frappe dans le bide Sur cette chaise du savoir ligoté, par ma colossale sensibilité, Par le bourreau de ma tendresse, Je lui ai mis la tête , Resserrait au maximum dans un étau, Pour qu’il arrête de parler trop,
J’ai dévalise ,emporter les alliances et collier de mots , J’ai fouillé,fouiller dans tous les tiroirs de votre mémoire Des robes de conjugaison « verbale » tisser par les aiguilles- plumes des grand poètes. Les parures verbales de Maupassant,
Mais avant que je le jette devant les passant, Le squelette de son corps inerte, Noyé dans vos lectures, véritables bains acides Auparavant pleines de mes empreintes livides.
Il m’a tirer dessus une fois qu’il a réussit a se déligoté il m’a tiré dessus ;ne cessant de gigoté Quelques cartouches de mon encre, Le sang de mon inspi a giclé a tapissé le murs de mes lèvres ,d’ancien cancre le papier peint de esprit avec mes idées recyclées.
macadam remplit de mon encre sang, sang d’encre J’ai perdu le talent et la candeur formant ce trousseau de clé, Clé de la réussite,pour ouvrir les cadenas de la notoriété Au court de cette poursuite infernale,si compliquée
Ce talent s’est trop dévoilé car dépourvu de sobriété, En me Suivant les trace de mon sang de mon inspi, Tel l’Arsène Lupin de la littérature, Sur le macadam de mon esprit, Tel un commando,Il m’a pris en filature, Dans les ruelles étroites de mes tortures, Il m’ suivit grâce a la lumière de l’anonymat, L’ombre du désespoir brillant sur ce gravier de mots toujours aussi superflu obsolète Il a tire n’importe comment sur tous les réverbères Sur tous les artistes - lampadaires
Pris de panique j’ai pris la fuite , Quand j’ai entendu les voisins artistes appuyer sur la sonnette
J’ai remonte pas a pas,sans faire de bruit L’escalier de mon inspiration, Au premier lueur et des gyrophares Je me suis vite caché dans vos mémoires armoires, Les sirènes et leur lumières traversant les nuages nénuphars
Pour m’échapper,de cette maisonnette remplit de poetes fantômes, J’ai ouvert devant vos yeux ébahit, la « réalité,-velux, » Emportant dans ma valise le bourgeois gentilhomme Car parler de nos jours la langue de Molière est devenue un luxe,
Tant de crise grammaticale, J’ai tout pris,tout dérober de manière radicale
Je me suis échapper par le toit de la misère, Escalant de toits en toits , Glissant De gouttière humaine en gouttière humaine, Avec la mallette du savoir, Ou de manière abominable, J’ai compresser au maximum Les pied et mains pliées, le corps de mon soi disant talent
Mais le talent a réussit a sortir de sa mallette d’abstinence M’ a poursuivit entre chaque ruelle ,a retirer Après être relever, Mon inspi a été touché dans les épaules et n’a cesser de boiter, Inexorablement l’hémorragie des mots elle s’est donc écroulait, Mais d’un seul doigté, Réanimé ,les mains appuyer sur mon thorax de mots farouches, Le talent jadis mon souffre douleur,que j’avais séquestré Est venue me faire du bouche à bouche, S’est répandit de ma voir blesser , de m’avoir vu me défenestrer.
Je l’ai jeter cyniquement,sans remerciement dans le ravin grammaticale ,dans le fosse littéraire Me méfiant certainement de cet hypothétique mauvais témoins oculaire.
Mais je me suis aperçu trop tard d’avoir même si je m’étais munit d’une cagoule de métaphore, Des gants noirs de la subtilité Pour ne pas être reconnu d’avoir fait tant d’ inutiles effort, D’avoir Maladroitement laisser les crampons de mon chagrin Sur le pages de vos livres et leur moquette Laisser quelque mégots de la poésie de Prévert Que j’ai oublier d’éteindre quand j’ai vu le feu naître Celui de l’art qui incendie la poésie maisonnette Que j’ai oublier les douilles de mes cartouches J’ai oubliais de nettoyer les murs de vos lèvres , Le sang de mon inspi comme empreinte du mal être.
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