Plume d'argent Inscrit le: 23/7/2011 De: |
"Seul au monde"(suite des mirages de l'amour) Seul au monde(suite Des Mirage de l’amour)
Je te revois essayer de lever le manche avec dextérité Essayer de parvenir a éviter en plein vol , A survoler cette falaise de silence , qui m’a longtemps irrité droit devant nous, pour moi pas de bol Impossible d’ Appeler au secours Vers la tour de contrôle; sur le poste radio de la cabine Et son fil de chair relie dans le haut parleur Interférence diabolique,rire et parasite interférentiel sarcastiques « mayday ,mayday »tour de contrôle charnelle Aider nous a retrouver la piste de notre libido dans le noir s’il vous plait
Mirage incontrôlable Les réacteurs de notre amour enflamme Les vitres de l’appareil,de brisé,cabine dépressurisée Tout s été aspire même les valise de notre passé Salive de nos baiser, Valise en braise Masque a oxygène de notre complicité envolés La commandante de bord aspiré Le vortex ,la spirale exponentiel de la haine nous a aspire, Projeter contre la porte de sortie,fracassé.
Sans parachute émotionnelle a bord Jeter dans le vide exponentiel a travers les coussins nuages a tribord ou a babord « « En avant toute toute pendant ce temps la Le Titanic Sur tes cotes avaient échoué
J’ai vu en tombant le mirage écrasé , sur cette falaise d’abstinence, Crash inopiné ,ailes des mirages de l’amour carbonisées Yacht d’une romance échoué ,par la coque de complicité trouée Ramenée par les vagues du mépris,l’hôtesse de l’air calcinée, Attaquer des mon arrivée sur ton île, par une ribambelle d’indigènes Et leur flèches empoisonnées,, L ‘épuisette ,et ton harpon de chair Par les vagues de ton mépris y ont été ramené,
Île de l’écriture ou j’ai donc échoué, Seul sur le radeau de la solitude, L amitié comme bouée J’ai amarré sur ce port de l’écriture, Ramène grâce a la bouée qu’on appelle l’amitié,
J’ai donc fait avec toi de la plongée sous -marine, Sur cette île de ton corps ,j’ai du donc tout fouillé, Explorer quelques sous-marins et leur torpilles J’ai vu au fond de l’eau Titanic son ancre rouillé , Craignant que quelques conquistador sur tes archipels Viennent à ton temple charnelle et te pille, Titanic éventrer face a ton corps iceberg souillé Avec ton harpon de chair,capturer quelques méduses gluantes Dans ta vase , des vipères d’eau remuantes
J’ai remis mis les pieds sur ton île Explore ta foret noire, Des plaines ,tes falaises
Je me suis réfugier,en attendant que finissent cette moisson d’aridité Dans une grotte énigmatique, Avec des dessins d’hommes préhistorique, suspendu sous cette voûte naturelle des stalactites
Tel un Robinson Cruzoe de l’écriture J’ai décroche ce stalactite, Suspendu a cette voûte,et ses bordures Sous tes roches de granite,
Avec ces bambous,et leur feuillages, Je t’ai vu concevoir un nouvel abri de plaisir sexuelle Au mortier du silence,édifier devant moi des grillages J’ai du me concevoir un nouvel abri d’amitié
Mais inopinément,tombe nez a nez sur une troupe d’aborigènes J’ai donc été Poursuivit par ses indigènes, Qui ont brûler la carte de mon Itinéraire Et leur flèches empoisonnes,procréatrice de gênes, J’ai attraper le parapente littéraires Balancer ce masque de notre complicité masque à oxygènes, Survolant tes plaines autrefois immaculées,
c’est tireurs embusqués et indigènes Avec leur flèches empoisonne leurs fusils dans ton regard Ils ont tirer sur mon parapente, Je suis tomber dans un gouffre de morosité Écraser dans les canyons de mon desespoir!!
Tomber de tes falaises, Remonter ce gouffre de solitude est devenu balaise, Les mains écorchaient , et qui au fur et à mesure s’abîmes Tomber dans le gouffre du noir ,ses abîmes Ohiss o hiss La corde charnelle a craque Je suis tomber dans le précipice d’une douleur délice
Tomber dans ce gouffre émotionnel, L’écriture m’a donc remonter, A attraper mes mains écorché par la vie cactus,
Je suis partis a la cueillette des mots «champignons hallucinogènes » Sur cette île de l’écriture Avant que débarque d’autre troupe d’aborigènes, Mais la réalité cactus « m’a trop use les mains, A chaque fois que ma plume se posa sur cette sol marécageux
J’ai décider de partir de cette île e l’écriture J’ai revu le Titanic éventrer Échoue sur tes cotes ,quelle torture!! Je l’ai fouiller pour voir s’il y avait des rescape Rien dans les compartiment Rouille Aucun cadavre retrouve dans cette eau congelé Percutant de plein fouet de la réalité L’iceberg de ton cœur
J’ai vu la carcasse de ce mirage de l’amour rouille Les ailes de ma naivéte calcines, Aucun passager du passe retrouve ni du présent tous calcine Ecarse sur La falaise de ton absence
Je suis partis Confectionner un radeau de la solitude Loin de ton triangle des bermude Affrontant les tempête polémique, Les vagues des critique,
Combat spectaculaire , Sur ce radeau de la solitude, Entre moi,et cette déprime tentaculaire, Désorienté dans ce triangle des Bermudes, sans gouvernail de décision, Pieuvre douleur et ses tentacules Vent des polémique et critique ,qui fait que sous la vague des jours je recule
Combat spectaculaire contre anaconda géants ces monstres du Locke Ness
Raccroche au roc l’amitié perdu dans le Canyon de ma combativité,s’est émiette Je croyais en débarquant sur ton île, Découvrir un Eldorado de velouté
anaconda,des alligators dans ses marécages, Ton épuisette a emprisonné , dans ses filets d’autres piranhas,
J’ai lancer de feux de détresse Apercu quelques mots -hélicoptère De ton hélice rouge, Agiter le mouchoir blanc que tu n’a pas su regarde,
Je suis alors partis de ton île, Pour débarquer sur celle de l’écriture , qui ’a su me prendre en exil, J’ai quitter ton corps et archipels Creuser à la pelle, Un trou pour enterrer la momie de notre amour, Et ses rubans d’infidélité, J’y ai enterre aussi ton harpon de chair, Ton épuisette a piranhas
De loin en quittant cette île J’ai vu ton nouveau pionner Christophe Colomb et ses conquistador cherchant le trésor de la fertilité, Brandir dans le temple solaire trouver , Le soleil d’or de la fécondité,
J’ai sortis le parapente, Puis J’ai dévalé tes pentes J’ai grimper l’Himalaya ,le Kilimandjaro Ton corps mon nouvel eldorado Quand je me suis mis sur ton dos Quelques indigènes sur leurs cocotiers te faisant goûter des noix de coco ,volontiers.,
Dans ta savanes , Sous tes rugissements de lionnes, Je me suis noyé , avec mes iguanes
sous l’eau calcaire de ton canyon.. J’ai plongé sous cette eau noire, Capitaine nemo,son sous marin et ses torpilles Sous les balise ,le sonar guider par mon radar J’ai découvert la boite noire,de tes émois sans moi
Gravissant le haut des falaises , J’ai vu quels un de mes satellite en orbite, Quelques une de mes étoiles éparpille sur cette pelouse galactique, Mais ton corps autrefois braiser ,volcanique est devenue une banquise de l’antarctique.. ,
Je suis monter sur les falaises de ton absence, Assis sou le hamac de la lune noire Observer au télescope de mon regard, Dans la galaxie de mon désespoir, cette voie lacté dans ton regard plein d’innocence Sous une nébuleuse ,de liquide inflammatoire Un astre d’amour
Sous ton canyon de chair, Sous l cette sombre lueur , On voit un fleuve de sueur, ,j’ai vu ton île et ses archipel, Ton volcan s’éteindre, Tes archipel de chair Se Recouvrir de glaciers,de banquise,
J’ai vu de mon île de l’écriture l’ île de ton corps, Et de des falaises de mon inspiration ,tes falaises profanés Egalement vu les voiles des conquistador débarquer,trouver le soleil d’or Sur tes archipel, tes cotes ces indigènes se proliféraient, Sur mes collines d’inspiration,Tes collines de chair s’éloignes Yoach d’une romance a coque de complicité trouée Elus de ton soleils d’or ,pour l’adoration qu’ils t‘ont témoignée.. ces aborigènes aux flèches empoisonnées
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