Tandis que se lasse la rivière
Aux ailes des grands moulins
Tandis que le jour doucement prépare ta soirée
Et ne traîne plus comme un appât
Tandis que la rivière se lasse
Sous le soleil faiblissant
L’été se suspend par dessus les peupliers
En figurines de papier
Tandis que des profondeurs de l’onde
Des poissons alphabet
Bondissent sous tes yeux
Les maisons éclatées rendent une image
Plus rêche à ton oreille
Aux sons de mille cloches
Tandis que la forêt s’assombrit
D’une volonté d’ombrelles en sommeil déjÃ
À chaque écho son ruisseau
À chaque mouton son pré
À chaque collerette sa fleur
À chaque frondaison son arbre
Et toi, ma Douce
Assise sur mon panier de pêche
Tu lis ici
Encore un peu...
Cavalliero
REPONSES AUX COMMENTAIRES
espace anti-remonte d'auteur, Copyright© at124mpu#678@jessye à la liste de poissons jolis, merci
@Denise12, merci merci
@Paulus, j'aime te voir passer ici
@parfundoux, merci d'être là , et pour vos mots
@gabriellee, jessye l'a dit votre nom est merveille, et puis j'aime votre commentaire, bienvenue, encore
@Eden jolie, merci merci amie
@EvilFranck, merci ami de plume
@Eve-lyne, ho merci de passer, et pour tes mots, amitié en bises aussi
@lagaudiere merci à toi de passer aussi, et pour ces mots reposants et doux
@chris-ray oui, rire ceci sera d'autres histoires... merci chris (y'avait vraiment ce que tu dis en filigrane, car chaque mot posé... mais chuut...)
@Peyrepertuse, merci et un bien joli commentaire