Nous sommes maintenant, à l'âge des anciens, qu'enfant nous entendions gémir !
Se plaignant de douleur, de toutes sortes de maux, certains ayant carrément le moral à zéro;
Subissant de le vieillesse toutes les vilaines choses, pour eux ce n'était vraiment pas beau !
Ils se disaient à l'âge ou ils doivent malgré eux, bientôt malheureusement loin d'ici partir.
Nous ne comprenions pas baignant dans l'innocence, ce qu'ils essayaient vainement de nous dire !
Par le fait qu'ils devraient un jour proche partir et s'en aller tout triste deux mètres sous terre gésir.
Nous étions si petits, mordant avec vigueur,intensément passionnant nos tout premiers instants de vie
Que la plainte des vieillards nous affleuraient à peine; nos petits coeurs d'innocents obnubilés par nos envies.
C'étaient nos grands parents, nos proches, puis nos pères et nos mères qui à leur tour leur vie entière !
Avaient mené combat pour ne pas se trouver, un jour comme leurs aïeux définitivement mêlés à la poussière.
Mais malheureusement dans le cours du temps ce jour tant redouter pour eux est arrivé; hélas ils ont crevé.
Voilà qu'on est au stade, où pourtant nos ancêtres qui aimaient tant la vie; ont dû d'ici déménager !
Ce que nous avions vu, qui nous a fait pleurer et tellement redouter de voir nous aussi livrés au même sort !
De devoir malgré nous, très épuisée livrant bataille; inexorablement se faire vaincre nous aussi par la mort !
Oui, nous sommes malheureusement; comme nos anciens entrain de gémir et craignons de partir !
Et de devoir quitter les nôtres, un de ces jours comme nos ancêtres qu'on a vu des nos yeux si tristement mourir !
Guyh