à John, ses espions et ses fantômes...
Je mets en doute l'outre Q.I. dense
Des regards biaisés, au feu de la braise
En pleine déroute, en des lieux d'aisance
Où les corps blasés viennent sucrer les fraises.
Chacun(e) multipliant les milles maladresses
Au carrefour des passages à rivaux
Dans l'indifférence du milieu, sans esses
Où tournent les cheveux de bois, sans os.
Je; compte les erreurs d'angles, de vues
Du sommet crânien où les cerveaux lancent
Des idées, sans lueur, jusqu'au coin des rues
Traversées de pions et chie, quiet, par chance.
Que d'ire, sans maux, est si peu probable
Au souffle glacial des gorges profondes
"X" s'y colle et veut n'être que louable
Depuis la fenêtre, quand la nuit est blonde.
Je prends un dernier train pour qu'enseigne
La sphère spacieuse aux rêves fléchissant
Depuis que le sens interdit rend, saigne
Le Carré exposant zéro, se fait néant.
Hubix.
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bonjour à toutes et tous, je viens découvrir ce nouveau site, pour moi, en espérant pouvoir partager la passion de la poésie avec chacun(e) d'entre vous... Merci d'avance...