Tu m'as sonné...je te réponds en acrostiche inversé...
K yrielle de bons mots encensant notre vie
E tes-vous ce patois qui provoque la liesse ?
R ien n’est plus salutaire aux gens pris de vieillesse
A ttendant qu’une étoile éclaire leur survie.
B aladin se veut l’être aimant de tout son cœur
A u perron du balcon dont il est chroniqueur.
N ul n’ignore ici bas qu’il est une pointure.
N e vous l’avais-je dit que j’étais ce complice
A vec tout plein d’entrain pour emplir son calice ?
B on ! Vous voilà calés, de savante nature !
A ntoine est mon prénom, celui qui donne envie !
R ésonnez donc hautbois pour doper la kermesse
E n disant à nos gens que commence la messe !
K rach en ce bas Monde où tout paraît obvie !
réponse en acrostiche à ce qui suit
Accrocher une étoile au plafond de ma nuit ;
Attendre le réveil du berger de l'alpage
Et quand l'aube apparaît, quand le bruit se propage,
Fermer l'œil et laisser s'échapper les brebis.
J'accrocherai l'étoile à ce fragment de vie,
L'éclaté de la fin dont j'ai gommé les pages,
Ciselant les contours ainsi qu'un découpage
Éliminant frayeurs, embarras et ennuis.
La vie fut un étrange et douloureux voyage
Dont je désire voir l'issue comme un rivage
Où sur du sable fin je puis me reposer.
J'accrochais une étoile au plafond du sommeil,
La laissant me guider vers des lieux apaisés
Et la vis rougeoyante, éclatante, vermeille.