Il s'appelle Bernard LHOMMEDIEU
Enfin, il s'appelait ... c'était mon grand-père
Et si je me permets de vous solliciter mon Dieu
C’est parce que depuis qu’il vole, moi je me perds
Rendez-moi mon Patriarche, ma seule racine
Ne me privez plus de son sourire
Dites-lui qu’il vienne, j’ai besoin qu’il me taquine
Notre belle complicité ne peut pas s’évanouir
Laissez-moi le prendre dans mes bras
Sentir encore une fois son cou plissé
Mes prières, vous savez, ne me consolent pas
Laissez-moi encore le serrer
Me plonger l'âme dans son regard
Lui dire que je l'aime, qu'il me manque
Non, ne dites pas que c'est trop tard
Laissez-le descendre, que je le sente
Allez, rendez-le moi mon Pépère
Ne m’obligez pas à me faire une raison
Acceptez ma supplique, ma douce prière
… Rendez-moi celui qui un jour m’a offert son nom.
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Quand tu pleures de joie, n'essuie pas tes larmes, tu les voles à la douleur ...