Je marche dans la ville déserte
Sans personne à ma porte
Dans un pays mystérieux
Sans pareil….
Je marche et regarde inerte
Les gratte-ciels qui m’emportent
Dans des nuages, dans des cieux,
Sans soleil…

Et pourtant, il y a tant
Tant de gens autour de moi
Et ce chagrin que je porte
Comme un fardeau, un fardeau

Je ramasse sur le sol
Une petite chose morte
Qui ressemble à ton amour
Ton amour…
Je caresse son image
Et doucement le transporte
Au cimetière des cœurs sauvages
Des amours immortels

Et pourtant, loin de toi
Je ne suis désormais plus rien
Je ne suis désormais plus rien
Pour survivre, pour survivre…

La petite chose est morte
Et je ne voix plus qu’un oiseau
Celui qui vole dans les cieux
Et nous emporte
Nos deux âmes, lueurs bleues
Deux lumières qui se ressemblent
Comme lucioles encore heureuses
Qui s’envolent…
Comme moi, comme toi
La vie à désormais si froid
Qu’on se perdra à chaque fois
A Chaque foi, chaque fois…

J'ai bien aimé le style, la répétitions des mots,

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La mort d'une chose reste le début d'une autre , bonne chance

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Il n y a d'autre monde que le monde spirituel. Ce que nous appelons le monde sensible est le mal dans le monde spirituel et c que nous appelons mal n'est que la nécessité de notre éternelle évolution .

merci ramses et samarkand

une très belle lecture

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merci encore