Dois-je encore rêver sans y mêler mon cœur Ou tuer mon espoir d’un oubli salvateur ? Je sais, Leila, je sais qu’il est loin ce bonheur Auquel nous avons cru un moment enchanteur.
Dois-je encore rimer mon chagrin pleurnichard Où chercher de la joie d’un faux pas de routard Sur des chemins perdus dans le flou d’un hasard, Car il fait noir en moi, le clair prend du retard !