Ton poème m'interpelle et me touche particulièrement car j'ai été confrontée à ce fléau qui a des répercussions multiples dans le présent, et pour l'avenir.
Tout d'abord . sur l'ENFANT VICTIME ;
ensuite . sur les parents qui doivent "gérer" l'après en sachant
qu'il y aura probablement toujours des séquelles ;
. sur l'entourage familial qui ne comprend pas
forcément la VICTIME et qui à tendance à minimiser
cet acte répréhensible parce que cela le dérange (le
violeur étant souvent un proche qu'on ne
soupçonnerait jamais) ;
. sur l'ensemble de la société : peut-on faire lui faire
confiance pour endiguer ce mal ? Quels sont les
moyens véritables d'éducation, de prévention, ... et de
justice mis en place ?
Si l'on se réfère à l'ancienne Egypte, éprise du droit et qui "n'y allait pas par quatre chemins" : c'était la peine de mort ! ...
La justice a évolué vers trop de laxisme puisque certains sont relaxés et rechutent ! Pourtant, même si l'on fait le parallèle avec un chien qui mord et qu'on euthanasie parce qu'il recommencera, je pense que la solution capitale n'est pas la bonne : il faut,
. d'une part, insister sur la prévention des risques à tous les
niveaux et,
. d'autre part, empêcher que la "personne" récidive en analysant
sans haine, mais aussi sans faiblesse, les motifs de son
comportement criminel. Cela amènerait à une obligation de soins
pour les cas les moins "graves" (ce qui ce fait déjà ) avec peine
d'emprisonnement ; la réclusion pourrait être perpétuelle
-avec une marge de sécurité indispensable-pour les violeurs
invétérés et, encore plus, meurtriers qui sont au-delà de toute
thérapeutique, mis à part la castration .
Ces mesures auraient un effet double :
. neutraliser au maximum cette pulsion, paraît-il incontrôlable, et
. freiner, autant que possible, la liste impressionnante des
VICTIMES.
:-P :cry:
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Floriane
" Seul l'amour survit ! "
" La poésie, une source intarissable..."