Tu seras près de moi et dans ce paradis Nous referons alors un monde rien qu’à nous. Il n’y aura personne pour jeter parmi nous Les larmes de la haine, tous ces pleurs aussi.
Des rimes et des poèmes, que les feuilles jaunies Conserveront pour toi dans un coffret de nacre Et tu n’auras alors aucun doute, ton sacre Se fera douce reine dans les jours qui s’enfuient.