Comme un étranger dans ma vie
Je me promène au hasard des rencontres
J’avance avec amnésie
Sur le cadran de ma montre
Personne ne me connaît
Je me sans inconnu
Personne à écouter
Je ne serai jamais un connu
Les gens que je croise
Me sont étranger
Le regard en toise
La vie en danger
N’être que dans l’inconnu
Dans un univers qui ne se connaît pas
Tout le monde est confondu
Les personnes ne se voient pas
Être tant
Et être si seul
Il n’y a que le vent
Qui écoute notre écueil
Peut être au loin
Tout là bas dans le lointain
Il y aura quelqu’un
Qui me reconnaitra, demain
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Benoît...
Le mépris des autres est le plus court raccourci vers le mépris de soi même
