C'est qu'il peut faire tant de mal, ce regard!
Et l'on a beau se dire qu'il ne faut pas en tenir compte, difficile de
vivre en l'ignorant!
Ton poème, en dénonçant l'intransigeance de certains regards
et l'autosuffisance de ceux qui se croient supérieurs, n'est-il pas une
invitation à adoucir le nôtre (de regard) parce que, peut-être sans le vouloir,
nous en portons un semblable sur autrui... ?
Bravo pour la "violence" de ce poème!
Elle ne laisse pas indifférent...
Capucine