Pourquoi salure tes mains,
Toi l’impuissant être humain,
Tu vas partir tĂ´t au tard,
Dans la vie tu n’es qu’un avatar
Quand J’étais jeune est beau,
J’ai décroché tous mes vœux,
J’ai voyagé par avion, affrété par moi,
J’ai écrasé les macabres, et les émois,
Et en période de froid, je porte le chamois ;
J’étais gentille, et c’était mon seul défaut,
Ah si j’avais sait, vieillesse siamoise,
Je ne rentrerai jamais dans le faux.
Mais comme j’étais à bas âge, orphelin,
Et dans ma tête, vit un vilain félin,
J’ai perdu la fleur et le câlin,
Pour l’assisté, l’étendue malin.
Mon seul refuge, c’est la poésie,
La noble, qui a arrosé mes osés
O mon âme, la poésie que tu as souhaitait la voici
Vis seule et meurt ici.
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les années de disette dictent les poètes