Qui est en ligne 188 utilisateur(s) en ligne (dont 134 sur Poèmes en ligne) Membre(s): 2 Invité(s): 186 messager, Eve-Lyne, plus...
Droits d'auteur
Copyright
|
Expéditeur |
Conversation |
Laesilia |
Envoyé le : 21/12/2011 18:08
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/11/2005 De: Sur les chemins de l'âme |
De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Mon cher, mon tendre, si bel amour C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui Je prends la plume, écumant le jour Pour vous conter un tant soit peu ma vie
De l'aube au crépuscule, je parcours Les grandes allées, où tout semble vouloir Me rappeler à votre souvenir, et ce jour Où nous gagions fidélité, le coeur en espoir
Et le violon de mon cœur voudrait Offrir ses notes enjouées, mais mon âme Se glace de perles de pluie et l'archet Tel le cristal se brise, attisant mes larmes
|
|
|
anonyme |
Envoyé le : 21/12/2011 18:13
|
|
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, à vos plumes pour une suite....) Bonsoir Gihislaine un beau chant de tendresse et d'amour!! amitié!!!
|
|
|
APPARENCE |
Envoyé le : 21/12/2011 19:30
|
Plume d'or Inscrit le: 16/7/2011 De: RĂ©gion parisienne |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, à vos plumes pour une suite....) Bonsoir Ghis J'essaie de suivre... Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes… Mes amitiés Yvon
|
|
|
poesiade |
Envoyé le : 21/12/2011 19:33
|
Plume de platine Inscrit le: 17/7/2008 De: un patelin de paix et d'amour |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, à vos plumes pour une suite....) De très beaux quatrains où se mêlent tendresse et tristesse amitiés poesiade ---------------- Mes Romans " LES LAMES DU SILENCE" viennent de paraître chez EDILIVRE "LE coffret en bois d'ébène " chez Éditions MUSE Mon recueil de poésie"Tranches de Vies " chez Edilivre
|
|
|
anonyme |
Envoyé le : 21/12/2011 19:37
|
|
Re: De vous Ă moi ( Allez Messieurs, Ă vos plumes pour une suite....) un joli chant d'amour que celui ci
|
|
|
mihoubi |
Envoyé le : 21/12/2011 19:48
|
Plume de platine Inscrit le: 24/9/2008 De: Bou saada (Algerie) |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, à vos plumes pour une suite....) Entre moi et toi il existe un sublime rêve, De Se baigner dans ce magnifique fleuve, Une fois que la malchance marque une trêve, ce jour,Nous prenons tous le désir de nos rêves ---------------- les années de disette dictent les poètes
|
|
|
Laesilia |
Envoyé le : 21/12/2011 20:11
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/11/2005 De: Sur les chemins de l'âme |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Mon cher, mon tendre, si bel amour C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui Je prends la plume, écumant le jour Pour vous conter un tant soit peu ma vie De l'aube au crépuscule, je parcours Les grandes allées, où tout semble vouloir Me rappeler à votre souvenir, et ce jour Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir Et le violon de mon cœur voudrait Offrir ses notes enjouées, mais mon âme Se glace de perles de pluie et l'archet Tel le cristal se brise, attisant mes larmes (Ghis) Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes… (Apparence) Entre vous et moi il existe un sublime rêve, De se baigner dans ce magnifique fleuve, Une fois que la malchance marque une trêve, Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves (mihoubi) Mihoubi, j'ai changé le tu en vous pour aller dans le sens du poème, dis le moi si celà te pose problème! Orchidée, Karine, Poésiade merci pour vos coms... Apparence,mihoudi merci pour votre participation Mesdames si le coeur vous en dit, vous pouvez bien sûr participer...le but étant de faire une suite de quatrains sur fond d'amour à l'ancienne. Bisous à tous ---------------- https://www.facebook.com/ghislaine.graffard
|
|
|
cyrael |
Envoyé le : 21/12/2011 20:52
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 30/10/2005 De: **** |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Et le violon de mon cœur voudrait Offrir ses notes enjouées, mais mon âme Se glace de perles de pluie et l'archet Tel le cristal se brise, attisant mes larmes (Ghis) Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes… (Apparence) Entre vous et moi il existe un sublime rêve, De se baigner dans ce magnifique fleuve, Une fois que la malchance marque une trêve, Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves (mihoubi) je suis heureuse de voir cette belle chaine poétique, enfiler sur le fil ..des perles de toute beauté si je pouvais être du sexe masculin, bien volontiers ma plume vous offrirai MADAME quelques humbles quatrains.. ---------------- l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo
|
|
|
jp183 |
Envoyé le : 21/12/2011 22:16
|
Plume de platine Inscrit le: 6/1/2009 De: La mer, le ciel, la terre |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours! Moi, loin de vous, je meurs et mon coeur se fait lourd Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence, Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence Faisant de ses journées lugubre sénescence. JP. P.S. Désolé, c'est un cinquain! ---------------- Vivre ses rêves
|
|
|
ratatouille |
Envoyé le : 21/12/2011 22:18
|
Plume de platine Inscrit le: 8/3/2011 De: |
Re: De vous Ă moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă vos plumes pour une suite....)
|
|
|
Laesilia |
Envoyé le : 22/12/2011 15:31
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/11/2005 De: Sur les chemins de l'âme |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Merci Cyrael JP, merci à toi, pas grave pour le cinquain, il est le bienvenu aussi Romain, j'aime aussi.. Mon cher, mon tendre, si bel amour C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui Je prends la plume, écumant le jour Pour vous conter un tant soit peu ma vie De l'aube au crépuscule, je parcours Les grandes allées, où tout semble vouloir Me rappeler à votre souvenir, et ce jour Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir Et le violon de mon cœur voudrait Offrir ses notes enjouées, mais mon âme Se glace de perles de pluie et l'archet Tel le cristal se brise, attisant mes larmes (Ghis) Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes… (Apparence) Entre vous et moi il existe un sublime rêve, De se baigner dans ce magnifique fleuve, Une fois que la malchance marque une trêve, Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves (mihoubi) O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours! Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence, Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence Faisant de ses journées lugubre sénescence. (JP) Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà ! Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir Et cette absence qui brule mon cœur chaque soir Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin! Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour Époumone ma vie, me glaçant de chagrin (Ghis) ---------------- https://www.facebook.com/ghislaine.graffard
|
|
|
RAMBAULT |
Envoyé le : 22/12/2011 22:20
|
Plume d'or Inscrit le: 14/2/2011 De: SAINT -VARENT |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Magnifique ! Guy ---------------- Il est un temps pour chaque âge : A vingt ans , tout semble possible. A quarante , tout est possible. A soixante tout semble possible mais pas forcément souhaitable .
Mon Blog sur Google http://guy.blogs.nouvelobs.com et mon profil Facebook...
|
|
|
APPARENCE |
Envoyé le : 22/12/2011 22:31
|
Plume d'or Inscrit le: 16/7/2011 De: RĂ©gion parisienne |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Eh bien ! on continue... Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux, Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent… L’impatience me tue, bien plus que ma blessure Mon être est en douleur à connaître les vôtres Chaque mot du billet devient une morsure. Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres… Yvon
|
|
|
Laesilia |
Envoyé le : 23/12/2011 14:03
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/11/2005 De: Sur les chemins de l'âme |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Merci d'être passé Guy Yvon, merci pour tes vers toujours aussi merveilleux J'adore... Mon cher, mon tendre, si bel amour C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui Je prends la plume, écumant le jour Pour vous conter un tant soit peu ma vie De l'aube au crépuscule, je parcours Les grandes allées, où tout semble vouloir Me rappeler à votre souvenir, et ce jour Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir Et le violon de mon cœur voudrait Offrir ses notes enjouées, mais mon âme Se glace de perles de pluie et l'archet Tel le cristal se brise, attisant mes larmes (Ghis) Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes… (Apparence) Entre vous et moi il existe un sublime rêve, De se baigner dans ce magnifique fleuve, Une fois que la malchance marque une trêve, Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves (mihoubi) O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours! Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence, Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence Faisant de ses journées lugubre sénescence. (JP) Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà ! Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir Et cette absence qui brule mon cœur chaque soir Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin! Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour Époumone ma vie, me glaçant de chagrin (Ghis) Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux, Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent… L’impatience me tue, bien plus que ma blessure Mon être est en douleur à connaître les vôtres Chaque mot du billet devient une morsure. Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres… (Apparence) ---------------- https://www.facebook.com/ghislaine.graffard
|
|
|
lilo |
Envoyé le : 23/12/2011 17:14
|
Plume de platine Inscrit le: 10/2/2007 De: |
Re: De vous Ă moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă vos plumes pour une suite....)
|
|
|
juliette04 |
Envoyé le : 23/12/2011 17:25
|
Plume de diamant Inscrit le: 5/9/2010 De: |
Re: De vous Ă moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă vos plumes pour une suite....)
|
|
|
mihoubi |
Envoyé le : 23/12/2011 18:12
|
Plume de platine Inscrit le: 24/9/2008 De: Bou saada (Algerie) |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Personne ne peut arrêter, le monstre qui galope, Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe, Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite Avant que cette horloge, insaisissable débite ---------------- les années de disette dictent les poètes
|
|
|
jeanluc |
Envoyé le : 23/12/2011 18:22
|
Plume de platine Inscrit le: 12/6/2008 De: BRIVE, CORREZE |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Hé, bien! continuons... Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir? Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rêves? Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir, Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trêve! ---------------- Je crois qu'il n'y ait eu guère d'auteurs qui aient été contents de leur siècle. Vauvenargues.
|
|
|
Laesilia |
Envoyé le : 23/12/2011 19:48
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/11/2005 De: Sur les chemins de l'âme |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Merci douce Lilo Tu as raison, c'est tout celà aussi la magie de Noël et rien n'est plus beau que de partager, ce que l'on a dans le coeur, alors vive la poésie . Merci Juliette, contente que celà t'ait plus Le romantisme sait encore faire parler les plumes, c'est super et je suis heureuse de cette participation Brundespoir, bien sûr que je permets, bien au contraire tout le monde est le, (la) bienvenu. Mihoubi, merci à nouveau Jean-Luc, merci d'être venu nous rejoindre et nous offrir tes jolis vers. Bisous à tous, je suis heureuse de cette échange, joyeux Noël Mon cher, mon tendre, si bel amour C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui Je prends la plume, écumant le jour Pour vous conter un tant soit peu ma vie
De l'aube au crépuscule, je parcours Les grandes allées, où tout semble vouloir Me rappeler à votre souvenir, et ce jour Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir
Et le violon de mon cœur voudrait Offrir ses notes enjouées, mais mon âme Se glace de perles de pluie et l'archet Tel le cristal se brise, attisant mes larmes (Ghis)
Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes… (Apparence)
Entre vous et moi il existe un sublime rêve, De se baigner dans ce magnifique fleuve, Une fois que la malchance marque une trêve, Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves (mihoubi)
O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours! Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence, Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence Faisant de ses journées lugubre sénescence. (JP)
Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà ! Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir Et cette absence qui brule mon cœur chaque soir
Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin! Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour Époumone ma vie, me glaçant de chagrin (Ghis)
Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux, Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…
L’impatience me tue, bien plus que ma blessure Mon être est en douleur à connaître les vôtres Chaque mot du billet devient une morsure. Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres… (Apparence)
Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre à boire Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire Comme je pense du matin au soir à vous et à votre histoire J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir (Brundespoir)
Personne ne peut arrêter, le monstre qui galope, Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe, Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite Avant que cette horloge, insaisissable débite (Mihoubi)
Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir? Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rêves? Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir, Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trêve! (Jean-Luc)
Vos mots délicats, en retour se font belle récompense Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver. (Ghis) ---------------- https://www.facebook.com/ghislaine.graffard
|
|
|
CHANDYLANE |
Envoyé le : 23/12/2011 22:31
|
Plume de platine Inscrit le: 24/10/2007 De: Triangle d'Or ...PROVENCE |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Puisque les dames sont admises, pas facile ici de s'immiscer ???? Alors juste pour un petit clin d'oeil ! Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame De tout l’éloignement de l’être bien aimé De l’attente, l’absence et de vos mots blessés. Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme Qui rend votre visage si beau, si attirant De loin, je vous regarde…je pense à votre amant Qui ne sait pas Madame, combien la solitude Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer… Chandy
|
|
|
Laesilia |
Envoyé le : 24/12/2011 0:14
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/11/2005 De: Sur les chemins de l'âme |
Re: De vous Ă moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă vos plumes pour une suite....) Coucou Chandy et moi je l'aime ce petit clin d'oeil et tes vers se glissent merveilleusement bien avec les nĂ´tres, alors merci infiniment pour ta participation... gros bisous
Mon cher, mon tendre, si bel amour C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui Je prends la plume, écumant le jour Pour vous conter un tant soit peu ma vie
De l'aube au crépuscule, je parcours Les grandes allées, où tout semble vouloir Me rappeler à votre souvenir, et ce jour Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir
Et le violon de mon cœur voudrait Offrir ses notes enjouées, mais mon âme Se glace de perles de pluie et l'archet Tel le cristal se brise, attisant mes larmes (Ghis)
Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes… (Apparence)
Entre vous et moi il existe un sublime rêve, De se baigner dans ce magnifique fleuve, Une fois que la malchance marque une trêve, Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves (mihoubi)
O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours! Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence, Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence Faisant de ses journées lugubre sénescence. (JP)
Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà ! Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir
Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin! Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour Époumone ma vie, me glaçant de chagrin (Ghis)
Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux, Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…
L’impatience me tue, bien plus que ma blessure Mon être est en douleur à connaître les vôtres Chaque mot du billet devient une morsure. Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres… (Apparence)
Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre à boire Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire Comme je pense du matin au soir à vous et à votre histoire J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir (Brundespoir)
Personne ne peut arrêter, le monstre qui galope, Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe, Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite Avant que cette horloge, insaisissable débite (Mihoubi)
Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir? Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rêves? Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir, Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trêve! (Jean-Luc)
Vos mots délicats, en retour se font belle récompense Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver. (Ghis) Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame De tout l’éloignement de l’être bien aimé De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.
Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme Qui rend votre visage si beau, si attirant De loin, je vous regarde…je pense à votre amant
Qui ne sait pas Madame, combien la solitude Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer… (Chandy)
---------------- https://www.facebook.com/ghislaine.graffard
|
|
|
REBELLE13 |
Envoyé le : 24/12/2011 9:46
|
Plume de platine Inscrit le: 8/8/2011 De: |
Re: De vous Ă moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă vos plumes pour une suite....)
|
|
|
EMA |
Envoyé le : 24/12/2011 10:59
|
Plume de platine Inscrit le: 14/6/2007 De: |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) La blancheur aride de l'hiver, bel amour, Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau, Ne soulève de rideau à travers le jour Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux. Bruissants de soleils, et de veilles à brûler, Et les vagues encore, et le sable qui bouge, Et le moindre coquillage l'éparpiller, La spirale se fermer, dans une mer rouge... Ne laissez dans l'espace voyager les airs, Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel, Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts Glissants d'émeraude à l'oreille, entre deux ciels. Joyeux Noël à Vous, à toi Ghislaine, à Tous. Ema
|
|
|
Laesilia |
Envoyé le : 24/12/2011 13:46
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/11/2005 De: Sur les chemins de l'âme |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Momo et Ema Merci du fond du coeur d'être venus grossir les rangs de cette belle chaîne de plumes aux fragrances douces Gros bisous et joyeux Noël mes amis
Mon cher, mon tendre, si bel amour C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui Je prends la plume, écumant le jour Pour vous conter un tant soit peu ma vie
De l'aube au crépuscule, je parcours Les grandes allées, où tout semble vouloir Me rappeler à votre souvenir, et ce jour Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir
Et le violon de mon cœur voudrait Offrir ses notes enjouées, mais mon âme Se glace de perles de pluie et l'archet Tel le cristal se brise, attisant mes larmes (Ghis)
Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes… (Apparence)
Entre vous et moi il existe un sublime rêve, De se baigner dans ce magnifique fleuve, Une fois que la malchance marque une trêve, Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves (mihoubi)
O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours! Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence, Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence Faisant de ses journées lugubre sénescence. (JP)
Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà ! Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir
Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin! Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour Époumone ma vie, me glaçant de chagrin (Ghis)
Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux, Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…
L’impatience me tue, bien plus que ma blessure Mon être est en douleur à connaître les vôtres Chaque mot du billet devient une morsure. Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres… (Apparence)
Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre à boire Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire Comme je pense du matin au soir à vous et à votre histoire J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir (Brundespoir)
Personne ne peut arrêter, le monstre qui galope, Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe, Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite Avant que cette horloge, insaisissable débite (Mihoubi)
Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir? Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rêves? Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir, Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trêve! (Jean-Luc)
Vos mots délicats, en retour se font belle récompense Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver. (Ghis) Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame De tout l’éloignement de l’être bien aimé De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.
Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme Qui rend votre visage si beau, si attirant De loin, je vous regarde…je pense à votre amant
Qui ne sait pas Madame, combien la solitude Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer… (Chandy)
Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ; Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine. Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine... Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés. (Rebelle)
La blancheur aride de l'hiver, bel amour, Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau, Ne soulève de rideau à travers le jour Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux.
Bruissants de soleils, et de veilles à brûler, Et les vagues encore, et le sable qui bouge, Et le moindre coquillage l'éparpiller, La spirale se fermer dans une mer rouge...
Ne laissez dans l'espace voyager les airs, Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel, Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts Glissant l'Ă©meraude Ă l'oreille, entre deux ciels. (Ema) ---------------- https://www.facebook.com/ghislaine.graffard
|
|
|
lagribouille |
Envoyé le : 24/12/2011 14:06
|
Plume de platine Inscrit le: 27/4/2014 De: AUCH 32000 tout près de la lune. |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Dans la pénombre qui m'encombre je vous lis, La beauté de vos mots dans la nuit mon séduit, Le coeur serré par ses notes si biens jouer, Je me surprend a vous rêver vous sublime fée. bon on peut pas dire que j'ai pas essayer !!! lol belles fêtes a vous princesse des mots et des sons ---------------- lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"
|
|
|
mouloudi |
Envoyé le : 24/12/2011 14:51
|
Plume de platine Inscrit le: 12/12/2007 De: hassi Rmel laghouat algerie |
Re: De vous Ă moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă vos plumes pour une suite....) bonjour merci pour le partage fraternellement mouloudi
|
|
|
APPARENCE |
Envoyé le : 24/12/2011 18:40
|
Plume d'or Inscrit le: 16/7/2011 De: RĂ©gion parisienne |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Je continue dans ma lancée... Vous qui savez Madame mon secret, mon tourment Qui freinent mon envie à frémir près de vous… Je sais la solitude, pour avoir fait serment De servir à cet ordre qui se dresse entre nous Aucun homme, aucun Dieu ne tueront mes pensées Et je ferme les yeux afin de mieux vous voir, Sans qu’aucun interdit ne viennent agresser, Votre bien doux reflet, que rêve mon miroir… En disant un grand à tous les participants pour accompagner la très belle idée de ce très beau poème auquel nous a invité la très charmante Ghis ... J'en profite pour te souhaiter un merveilleux Noël ainsi qu'a tous les poètes D'OASIS... Mes amitiés Yvon
|
|
|
mihoubi |
Envoyé le : 29/12/2011 19:51
|
Plume de platine Inscrit le: 24/9/2008 De: Bou saada (Algerie) |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, à vos plumes pour une suite....) Avec toi j’ai vécu le vrai amour Maintenant qu’elle vient la mort Avec toi j’ai vécu la somme de la vie D’autres songes je n’ai plus envie ---------------- les années de disette dictent les poètes
|
|
|
Laesilia |
Envoyé le : 30/12/2011 16:28
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/11/2005 De: Sur les chemins de l'âme |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, à vos plumes pour une suite....) Mon cher, mon tendre, si bel amour C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui Je prends la plume, écumant le jour Pour vous conter un tant soit peu ma vie De l'aube au crépuscule, je parcours Les grandes allées, où tout semble vouloir Me rappeler à votre souvenir, et ce jour Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir Et le violon de mon cœur voudrait Offrir ses notes enjouées, mais mon âme Se glace de perles de pluie et l'archet Tel le cristal se brise, attisant mes larmes (Ghis) Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes… (Apparence) Entre vous et moi il existe un sublime rêve, De se baigner dans ce magnifique fleuve, Une fois que la malchance marque une trêve, Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves (mihoubi) O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours! Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence, Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence Faisant de ses journées lugubre sénescence. (JP) Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà ! Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin! Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour Époumone ma vie, me glaçant de chagrin (Ghis) Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux, Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent… L’impatience me tue, bien plus que ma blessure Mon être est en douleur à connaître les vôtres Chaque mot du billet devient une morsure. Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres… (Apparence) Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre à boire Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire Comme je pense du matin au soir à vous et à votre histoire J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir (Brundespoir) Personne ne peut arrêter, le monstre qui galope, Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe, Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite Avant que cette horloge, insaisissable débite (Mihoubi) Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir? Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rêves? Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir, Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trêve! (Jean-Luc) Vos mots délicats, en retour se font belle récompense Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver. (Ghis) Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame De tout l’éloignement de l’être bien aimé De l’attente, l’absence et de vos mots blessés. Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme Qui rend votre visage si beau, si attirant De loin, je vous regarde…je pense à votre amant Qui ne sait pas Madame, combien la solitude Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer… (Chandy) Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ; Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine. Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine... Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés. (Rebelle) La blancheur aride de l'hiver, bel amour, Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau, Ne soulève de rideau à travers le jour Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux. Bruissants de soleils, et de veilles à brûler, Et les vagues encore, et le sable qui bouge, Et le moindre coquillage l'éparpiller, La spirale se fermer dans une mer rouge... Ne laissez l'espace voyager dans les airs, Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel, Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts Glissant l'émeraude à l'oreille, entre deux ciels. (Ema) Dans la pénombre qui m'encombre je vous lis, La beauté de vos mots dans la nuit mon séduit, Le coeur serré par ses notes si biens jouer, Je me surprend a vous rêver vous sublime fée. (Yogolo) Vous qui savez Madame mon secret, mon tourment Qui freinent mon envie à frémir près de vous… Je sais la solitude, pour avoir fait serment De servir à cet ordre qui se dresse entre nous Aucun homme, aucun Dieu ne tueront mes pensées Et je ferme les yeux afin de mieux vous voir, Sans qu’aucun interdit ne viennent agresser, Votre bien doux reflet, que rêve mon miroir… (Apparence) Avec toi j’ai vécu le vrai amour Maintenant qu’elle vient la mort Avec toi j’ai vécu la somme de la vie D’autres songes je n’ai plus envie (Mihoubi) Alors Monsieur, sous les sanglots du temps Je ferai confidence à mon cœur sans floraison Et ni rien, ni personne au parfum de mon sang Ne viendra envenimer notre tendre passion (Ghis) Un grand merci à tous les participants pour cette belle chaîne Tous mes voeux de bonne et heureuse année Ghis ---------------- https://www.facebook.com/ghislaine.graffard
|
|
|
REBELLE13 |
Envoyé le : 30/12/2011 21:59
|
Plume de platine Inscrit le: 8/8/2011 De: |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, à vos plumes pour une suite....) Et voila que s arrête la chaine d amitié, Dont le départ fut ELLE,cette ghis magnanime. Cette femme a le don de rester anonyme, Pour nous mettre en valeur...GHIS,tu vas me manquer ! bonne et heureuse année 2012,ma jolie dame d OASIS...Je "sors",mais j emporte tes mots.
|
|
|
Laesilia |
Envoyé le : 30/12/2011 22:22
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/11/2005 De: Sur les chemins de l'âme |
Re: De vous Ă moi ( Allez Messieurs, Ă vos plumes pour une suite....)
|
|
|
cyrael |
Envoyé le : 1/1/2012 0:05
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 30/10/2005 De: **** |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) HEUREUSE ANNEE ---------------- l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo
|
|
|
CLOTILDE25 |
Envoyé le : 1/1/2012 1:26
|
Plume de platine Inscrit le: 21/1/2011 De: Franche-comté |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, à vos plumes pour une suite....) Bonsoir Ghislaine *Meilleurs voeux 2012* Avec toute mon amitié.. ----------------
|
|
|
jeanluc |
Envoyé le : 2/1/2012 18:56
|
Plume de platine Inscrit le: 12/6/2008 De: BRIVE, CORREZE |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Loin de moi les chevelures de ta douce nuit. Je ne dormirai plus sous le chant de la lune, Ni ne jouerai du luth pour cueillir ton fruit; Vos vers sont des lagons, et les miens ne durent! ---------------- Je crois qu'il n'y ait eu guère d'auteurs qui aient été contents de leur siècle. Vauvenargues.
|
|
|
fleursdumal2 |
Envoyé le : 7/1/2012 12:54
|
Plume d'or Inscrit le: 29/10/2011 De: Québec |
Re: De vous Ă moi ( Allez Messieurs, Ă vos plumes pour une suite....) Citation : Ghislaine a Ă©crit :
Mon cher, mon tendre, si bel amour C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui Je prends la plume, écumant le jour Pour vous conter un tant soit peu ma vie
De l'aube au crépuscule, je parcours Les grandes allées, où tout semble vouloir Me rappeler à votre souvenir, et ce jour Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir
Et le violon de mon cœur voudrait Offrir ses notes enjouées, mais mon âme Se glace de perles de pluie et l'archet Tel le cristal se brise, attisant mes larmes (Ghis)
Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes… (Apparence)
Entre vous et moi il existe un sublime rêve, De se baigner dans ce magnifique fleuve, Une fois que la malchance marque une trêve, Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves (mihoubi)
O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours! Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence, Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence Faisant de ses journées lugubre sénescence. (JP)
Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà ! Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir
Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin! Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour Époumone ma vie, me glaçant de chagrin (Ghis)
Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux, Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…
L’impatience me tue, bien plus que ma blessure Mon être est en douleur à connaître les vôtres Chaque mot du billet devient une morsure. Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres… (Apparence)
Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre à boire Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire Comme je pense du matin au soir à vous et à votre histoire J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir (Brundespoir)
Personne ne peut arrêter, le monstre qui galope, Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe, Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite Avant que cette horloge, insaisissable débite (Mihoubi)
Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir? Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rêves? Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir, Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trêve! (Jean-Luc)
Vos mots délicats, en retour se font belle récompense Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver. (Ghis) Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame De tout l’éloignement de l’être bien aimé De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.
Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme Qui rend votre visage si beau, si attirant De loin, je vous regarde…je pense à votre amant
Qui ne sait pas Madame, combien la solitude Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer… (Chandy)
Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ; Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine. Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine... Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés. (Rebelle)
La blancheur aride de l'hiver, bel amour, Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau, Ne soulève de rideau à travers le jour Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux.
Bruissants de soleils, et de veilles à brûler, Et les vagues encore, et le sable qui bouge, Et le moindre coquillage l'éparpiller, La spirale se fermer dans une mer rouge...
Ne laissez l'espace voyager dans les airs, Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel, Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts Glissant l'Ă©meraude Ă l'oreille, entre deux ciels. (Ema)
Dans la pénombre qui m'encombre je vous lis, La beauté de vos mots dans la nuit mon séduit, Le coeur serré par ses notes si biens jouer, Je me surprend a vous rêver vous sublime fée. (Yogolo)
Vous qui savez Madame mon secret, mon tourment Qui freinent mon envie à frémir près de vous… Je sais la solitude, pour avoir fait serment De servir à cet ordre qui se dresse entre nous
Aucun homme, aucun Dieu ne tueront mes pensées Et je ferme les yeux afin de mieux vous voir, Sans qu’aucun interdit ne viennent agresser, Votre bien doux reflet, que rêve mon miroir… (Apparence)
Avec toi j’ai vécu le vrai amour Maintenant qu’elle vient la mort Avec toi j’ai vécu la somme de la vie D’autres songes je n’ai plus envie (Mihoubi)
Alors Monsieur, sous les sanglots du temps Je ferai confidence à mon cœur sans floraison Et ni rien, ni personne au parfum de mon sang Ne viendra envenimer notre tendre passion (Ghis)
Un grand merci à tous les participants pour cette belle chaîne Tous mes voeux de bonne et heureuse année
Ghis
|
|
|
Laesilia |
Envoyé le : 12/1/2012 15:40
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/11/2005 De: Sur les chemins de l'âme |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, à vos plumes pour une suite....) Cyrael, Salima une merveilleuse année pour vous deux aussi et de gros bisous Jean-Luc Merci pour tes jolis vers qui viennent s'ajouter aux autres bisous l'ami Fleursdumal Merci de ton passage sur nos vers bisous Ghis
Mon cher, mon tendre, si bel amour C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui Je prends la plume, écumant le jour Pour vous conter un tant soit peu ma vie
De l'aube au crépuscule, je parcours Les grandes allées, où tout semble vouloir Me rappeler à votre souvenir, et ce jour Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir
Et le violon de mon cœur voudrait Offrir ses notes enjouées, mais mon âme Se glace de perles de pluie et l'archet Tel le cristal se brise, attisant mes larmes (Ghis)
Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes… (Apparence)
Entre vous et moi il existe un sublime rêve, De se baigner dans ce magnifique fleuve, Une fois que la malchance marque une trêve, Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves (mihoubi)
O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours! Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence, Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence Faisant de ses journées lugubre sénescence. (JP)
Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà ! Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir
Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin! Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour Époumone ma vie, me glaçant de chagrin (Ghis)
Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux, Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…
L’impatience me tue, bien plus que ma blessure Mon être est en douleur à connaître les vôtres Chaque mot du billet devient une morsure. Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres… (Apparence)
Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre à boire Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire Comme je pense du matin au soir à vous et à votre histoire J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir (Brundespoir)
Personne ne peut arrêter, le monstre qui galope, Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe, Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite Avant que cette horloge, insaisissable débite (Mihoubi)
Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir? Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rêves? Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir, Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trêve! (Jean-Luc)
Vos mots délicats, en retour se font belle récompense Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver. (Ghis) Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame De tout l’éloignement de l’être bien aimé De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.
Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme Qui rend votre visage si beau, si attirant De loin, je vous regarde…je pense à votre amant
Qui ne sait pas Madame, combien la solitude Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer… (Chandy)
Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ; Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine. Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine... Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés. (Rebelle)
La blancheur aride de l'hiver, bel amour, Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau, Ne soulève de rideau à travers le jour Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux.
Bruissants de soleils, et de veilles à brûler, Et les vagues encore, et le sable qui bouge, Et le moindre coquillage l'éparpiller, La spirale se fermer dans une mer rouge...
Ne laissez l'espace voyager dans les airs, Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel, Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts Glissant l'Ă©meraude Ă l'oreille, entre deux ciels. (Ema)
Dans la pénombre qui m'encombre je vous lis, La beauté de vos mots dans la nuit mon séduit, Le coeur serré par ses notes si biens jouer, Je me surprend a vous rêver vous sublime fée. (Yogolo)
Vous qui savez Madame mon secret, mon tourment Qui freinent mon envie à frémir près de vous… Je sais la solitude, pour avoir fait serment De servir à cet ordre qui se dresse entre nous
Aucun homme, aucun Dieu ne tueront mes pensées Et je ferme les yeux afin de mieux vous voir, Sans qu’aucun interdit ne viennent agresser, Votre bien doux reflet, que rêve mon miroir… (Apparence)
Avec toi j’ai vécu le vrai amour Maintenant qu’elle vient la mort Avec toi j’ai vécu la somme de la vie D’autres songes je n’ai plus envie (Mihoubi)
Alors Monsieur, sous les sanglots du temps Je ferai confidence à mon cœur sans floraison Et ni rien, ni personne au parfum de mon sang Ne viendra envenimer notre tendre passion (Ghislaine)
Loin de moi les chevelures de ta douce nuit. Je ne dormirai plus sous le chant de la lune, Ni ne jouerai du luth pour cueillir ton fruit; Vos vers sont des lagons, et les miens ne durent! (Jean_Luc)
---------------- https://www.facebook.com/ghislaine.graffard
|
|
|
candidao |
Envoyé le : 12/1/2012 16:04
|
Plume de platine Inscrit le: 22/4/2010 De: Souk-Ahras (l'antique Tagaste) |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Superbe début, et si bien suivi par nos amis, pourrai une suite, je vais essayer ce soir, promis, car je suis lent à la détente...
|
|
|
mihoubi |
Envoyé le : 12/1/2012 17:39
|
Plume de platine Inscrit le: 24/9/2008 De: Bou saada (Algerie) |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Mes yeux te cherchent chaque matin, comme quelqu’un qui cherche un butin, Comme quelqu’un qui cherche, une aurore pour son fabuleux trésor, Toutes les perles du monde, ne valent pas ton harmonie, Tu es l’espoir de mon âme ramollie, mon essor vers le paradis et ses sors ---------------- les années de disette dictent les poètes
|
|
|
candidao |
Envoyé le : 13/1/2012 10:37
|
Plume de platine Inscrit le: 22/4/2010 De: Souk-Ahras (l'antique Tagaste) |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Bonjour, si je me suis désolidarisé avec les suites déjà en ligne, vous m'en excuserez; ceci à cause de l'interprétation que je fais du sens du texte où j'ai voulu voir en "les grandes allées" les allées d'un cimetière et "à votre souvenir" une formule d'épitaphe et où l'on pleure donc un cher disparu plutôt qu'un amour perdu. Qu'à cela ne tienne, cela peut rester métaphorique à condition simplement de remplacer "au grand dam de la mort bête" par "au grand dam de l'amour bête"... D'autre par, pour faire bien, j'ai tenté des alexandrins. Bonne lecture et mes amitiés poétiques. Ma chère, ma tendre. Mon merveilleux amour C'est le coeur mutilé que je tente aujourd'hui Surprenant ma plume et défiant le jour De vous dire en secret ce que devient ma nuit: Du soir jusqu'à l'aube, je me force au parcours De ces grandes allées où tout semble vouloir Me rappeler à vous, madame, et à ces jours Où la passion seule me dictait de vous voir. Mais le grand silence de mon coeur ne sait pas Taire la chamade du tambourin de l'âme Qui descend célèbrer le rite de vos pas... Feu, je ne serai point, tant que brûle la flamme! En derviche tourneur, j'abuse de mes fièvres Et bien mieux qu'un soleil, votre coeur d'or je pare Pour rendre un tant soit peu le sourire à vos lèvres Au grand dam de la mort (l'amour...) bête qui nous sépare.
|
|
|
Laesilia |
Envoyé le : 13/1/2012 10:54
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/11/2005 De: Sur les chemins de l'âme |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Mihoubi, merci à vous Candidao Je vous dirais seulement Monsieur, que vos vers sont magnifiques et qu'ils se marient merveilleusement avec cette belle chaîne, alors merci infiniment pour votre participation. Ghis
Mon cher, mon tendre, si bel amour C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui Je prends la plume, écumant le jour Pour vous conter un tant soit peu ma vie
De l'aube au crépuscule, je parcours Les grandes allées, où tout semble vouloir Me rappeler à votre souvenir, et ce jour Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir
Et le violon de mon cœur voudrait Offrir ses notes enjouées, mais mon âme Se glace de perles de pluie et l'archet Tel le cristal se brise, attisant mes larmes (Ghis)
Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes… (Apparence)
Entre vous et moi il existe un sublime rêve, De se baigner dans ce magnifique fleuve, Une fois que la malchance marque une trêve, Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves (mihoubi)
O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours! Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence, Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence Faisant de ses journées lugubre sénescence. (JP)
Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà ! Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir
Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin! Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour Époumone ma vie, me glaçant de chagrin (Ghis)
Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux, Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…
L’impatience me tue, bien plus que ma blessure Mon être est en douleur à connaître les vôtres Chaque mot du billet devient une morsure. Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres… (Apparence)
Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre à boire Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire Comme je pense du matin au soir à vous et à votre histoire J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir (Brundespoir)
Personne ne peut arrêter, le monstre qui galope, Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe, Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite Avant que cette horloge, insaisissable débite (Mihoubi)
Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir? Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rêves? Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir, Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trêve! (Jean-Luc)
Vos mots délicats, en retour se font belle récompense Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver. (Ghis) Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame De tout l’éloignement de l’être bien aimé De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.
Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme Qui rend votre visage si beau, si attirant De loin, je vous regarde…je pense à votre amant
Qui ne sait pas Madame, combien la solitude Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer… (Chandy)
Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ; Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine. Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine... Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés. (Rebelle)
La blancheur aride de l'hiver, bel amour, Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau, Ne soulève de rideau à travers le jour Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux.
Bruissants de soleils, et de veilles à brûler, Et les vagues encore, et le sable qui bouge, Et le moindre coquillage l'éparpiller, La spirale se fermer dans une mer rouge...
Ne laissez l'espace voyager dans les airs, Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel, Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts Glissant l'Ă©meraude Ă l'oreille, entre deux ciels. (Ema)
Dans la pénombre qui m'encombre je vous lis, La beauté de vos mots dans la nuit mon séduit, Le coeur serré par ses notes si biens jouer, Je me surprend a vous rêver vous sublime fée. (Yogolo)
Vous qui savez Madame mon secret, mon tourment Qui freinent mon envie à frémir près de vous… Je sais la solitude, pour avoir fait serment De servir à cet ordre qui se dresse entre nous
Aucun homme, aucun Dieu ne tueront mes pensées Et je ferme les yeux afin de mieux vous voir, Sans qu’aucun interdit ne viennent agresser, Votre bien doux reflet, que rêve mon miroir… (Apparence)
Avec toi j’ai vécu le vrai amour Maintenant qu’elle vient la mort Avec toi j’ai vécu la somme de la vie D’autres songes je n’ai plus envie (Mihoubi)
Alors Monsieur, sous les sanglots du temps Je ferai confidence à mon cœur sans floraison Et ni rien, ni personne au parfum de mon sang Ne viendra envenimer notre tendre passion (Ghislaine)
Loin de moi les chevelures de ta douce nuit. Je ne dormirai plus sous le chant de la lune, Ni ne jouerai du luth pour cueillir ton fruit; Vos vers sont des lagons, et les miens ne durent! (Jean_Luc)
Mes yeux te cherchent chaque matin, comme quelqu’un qui cherche un butin, Comme quelqu’un qui cherche, une aurore pour son fabuleux trésor, Toutes les perles du monde, ne valent pas ton harmonie, Tu es l’espoir de mon âme ramollie, mon essor vers le paradis et ses sors (Mihoubi)
Ma chère, ma tendre. Mon merveilleux amour C'est le coeur mutilé que je tente aujourd'hui Surprenant ma plume et défiant le jour De vous dire en secret ce que devient ma nuit:
Du soir jusqu'à l'aube, je me force au parcours De ces grandes allées où tout semble vouloir Me rappeler à vous, madame, et à ces jours Où la passion seule me dictait de vous voir.
Mais le grand silence de mon coeur ne sait pas Taire la chamade du tambourin de l'âme Qui descend célèbrer le rite de vos pas... Feu, je ne serai point, tant que brûle la flamme!
En derviche tourneur, j'abuse de mes fièvres Et bien mieux qu'un soleil, votre coeur d'or je pare Pour rendre un tant soit peu le sourire à vos lèvres Au grand dam de l'amour bête qui nous sépare. (Candidao) ---------------- https://www.facebook.com/ghislaine.graffard
|
|
|
cookiemomo |
Envoyé le : 13/1/2012 18:56
|
Plume de soie Inscrit le: 4/1/2009 De: |
Re: De vous Ă moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă vos plumes pour une suite....)
|
|
|
mihoubi |
Envoyé le : 14/1/2012 19:43
|
Plume de platine Inscrit le: 24/9/2008 De: Bou saada (Algerie) |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Destinés où sont nous ami consacré Qui ont juré d’être voués, et dans leur coeur ancré Mon âme aime leur air, comme une grande symphonie Ce rêve orné, a pris une destination inconnue ---------------- les années de disette dictent les poètes
|
|
|
Laesilia |
Envoyé le : 17/1/2012 18:00
|
Mascotte d'Oasis Inscrit le: 25/11/2005 De: Sur les chemins de l'âme |
Re: De vous Ă moi ( Allez Messieurs, Dames, Ă vos plumes pour une suite....) Cookimomo, Mihoubi Merci Ă vous
Mon cher, mon tendre, si bel amour C'est le cœur bien las, qu'aujourd'hui Je prends la plume, écumant le jour Pour vous conter un tant soit peu ma vie
De l'aube au crépuscule, je parcours Les grandes allées, où tout semble vouloir Me rappeler à votre souvenir, et ce jour Où nous gagions fidélité, le cœur en espoir
Et le violon de mon cœur voudrait Offrir ses notes enjouées, mais mon âme Se glace de perles de pluie et l'archet Tel le cristal se brise, attisant mes larmes (Ghis)
Ma chère et douce amie, les larmes de votre plume Ont fait vibrer mon cœur et caresser mon âme Que mes yeux à vous lire, osent se voiler de brume Tant vos mots sont perlés d’amour et de flammes… (Apparence)
Entre vous et moi il existe un sublime rêve, De se baigner dans ce magnifique fleuve, Une fois que la malchance marque une trêve, Ce jour,nous prenons tous le désir de nos rêves (mihoubi)
O ma mie contez-moi, oui contez-moi vos jours! Moi, loin de vous, je meurs et mon cœur se fait lourd Lorsqu'il se sent faner au jardin de l'absence, Sachant qu'il n'y a que vous pour tuer le silence Faisant de ses journées lugubre sénescence. (JP)
Que vous dire alors, que vous ne sachiez déjà ! Je pleure autant que je respire, et l'amour me noie Tant de nuits d’insomnie à espérer vous revoir Et cette absence qui brûle mon cœur chaque soir
Obscurcit mon ciel un peu plus chaque jour J'ai mal croyez-moi de vous savoir si loin! Et la fureur qui s'agite en mes veines, mon amour Époumone ma vie, me glaçant de chagrin (Ghis)
Ma douce, mon aimée j’ai grand mal pour vous De vous savoir ainsi, tout mon sang n’est que glace Lui qui brûlait mon corps à me mettre à genoux, Dans l’attente brûlante, que mes bras vous enlacent…
L’impatience me tue, bien plus que ma blessure Mon être est en douleur à connaître les vôtres Chaque mot du billet devient une morsure. Moi qui avais cru, que ça n’arrivait qu’aux autres… (Apparence)
Je vous offre ce brin d'espoir comme un verre à boire Plein est mon réservoir pour vous éclairer et vous séduire Comme je pense du matin au soir à vous et à votre histoire J'aimerai être une petite lumière pour mieux vous éblouir (Brundespoir)
Personne ne peut arrêter, le monstre qui galope, Viens mon ami, avant que ce monstre nous enveloppe, Viens dans mes bras se blottir, et en moi habite Avant que cette horloge, insaisissable débite (Mihoubi)
Ulysse, ma bien-aimée, pourquoi ce désespoir? Ne serais-je qu'un souffre-douleur loin de mes rêves? Je scanderai ton nom dans la pâleur du soir, Toi me laissant dans ma tour d'ivoire, sans trêve! (Jean-Luc)
Vos mots délicats, en retour se font belle récompense Et du fond de mes abysses, qu'il est doux de se savoir aimé Si mon cœur peine encore, c'est néanmoins l'espérance Que dans mes prunelles, votre missive est venue graver. (Ghis) Ah ! Si j’étais un homme, je vous dirais Madame Que vous m’êtes si chère et je comprend le drame De tout l’éloignement de l’être bien aimé De l’attente, l’absence et de vos mots blessés.
Quand je vous vois penchée, les yeux si plein de larmes Sur vos écrits mouillés, rayonnant de ce charme Qui rend votre visage si beau, si attirant De loin, je vous regarde…je pense à votre amant
Qui ne sait pas Madame, combien la solitude Pour un cœur délaissé est plein d’incertitude Que les heures se traînent sur les soirs sans gaieté Et qui de jours en jours voit le temps s’effacer… (Chandy)
Chere et douce amie tendre, ici,,vous me comblez ; Je ne suis qu'un maillon issu de votre chaine. Et lorsque je vous lis, mon ame vous fait reine... Et je ferme les yeux, car je vous sens plus prés. (Rebelle)
La blancheur aride de l'hiver, bel amour, Ne laisse trace de vent, ni brèche dans l'eau, Ne soulève de rideau à travers le jour Qui déplace les lacs, et des trilles d'oiseaux.
Bruissants de soleils, et de veilles à brûler, Et les vagues encore, et le sable qui bouge, Et le moindre coquillage l'éparpiller, La spirale se fermer dans une mer rouge...
Ne laissez l'espace voyager dans les airs, Sans notes de cristal, qui de grappe et de sel, Accrochent aux roches, de longs pendentifs verts Glissant l'Ă©meraude Ă l'oreille, entre deux ciels. (Ema)
Dans la pénombre qui m'encombre je vous lis, La beauté de vos mots dans la nuit mon séduit, Le coeur serré par ses notes si biens jouer, Je me surprend a vous rêver vous sublime fée. (Yogolo)
Vous qui savez Madame mon secret, mon tourment Qui freinent mon envie à frémir près de vous… Je sais la solitude, pour avoir fait serment De servir à cet ordre qui se dresse entre nous
Aucun homme, aucun Dieu ne tueront mes pensées Et je ferme les yeux afin de mieux vous voir, Sans qu’aucun interdit ne viennent agresser, Votre bien doux reflet, que rêve mon miroir… (Apparence)
Avec toi j’ai vécu le vrai amour Maintenant qu’elle vient la mort Avec toi j’ai vécu la somme de la vie D’autres songes je n’ai plus envie (Mihoubi)
Alors Monsieur, sous les sanglots du temps Je ferai confidence à mon cœur sans floraison Et ni rien, ni personne au parfum de mon sang Ne viendra envenimer notre tendre passion (Ghislaine)
Loin de moi les chevelures de ta douce nuit. Je ne dormirai plus sous le chant de la lune, Ni ne jouerai du luth pour cueillir ton fruit; Vos vers sont des lagons, et les miens ne durent! (Jean_Luc)
Mes yeux te cherchent chaque matin, comme quelqu’un qui cherche un butin, Comme quelqu’un qui cherche, une aurore pour son fabuleux trésor, Toutes les perles du monde, ne valent pas ton harmonie, Tu es l’espoir de mon âme ramollie, mon essor vers le paradis et ses sors (Mihoubi)
Ma chère, ma tendre. Mon merveilleux amour C'est le cœur mutilé que je tente aujourd'hui Surprenant ma plume et défiant le jour De vous dire en secret ce que devient ma nuit:
Du soir jusqu'à l'aube, je me force au parcours De ces grandes allées où tout semble vouloir Me rappeler à vous, madame, et à ces jours Où la passion seule me dictait de vous voir.
Mais le grand silence de mon cœur ne sait pas Taire la chamade du tambourin de l'âme Qui descend célébrer le rite de vos pas... Feu, je ne serai point, tant que brûle la flamme!
En derviche tourneur, j'abuse de mes fièvres Et bien mieux qu'un soleil, votre cœur d'or je pare Pour rendre un tant soit peu le sourire à vos lèvres Au grand dam de l'amour bête qui nous sépare. (Candidao)
Destinés où sont nous ami consacré Qui ont juré d’être voués, et dans leur cœur ancré Mon âme aime leur air, comme une grande symphonie Ce rêve orné, a pris une destination inconnue (Mihoubi)
Mon bel amour, avec vos mots, m’énamourant Me voici en courage pour patienter votre retour Alors que mon cœur s'en allait mourant Je reviens à la vie, sous l'enveloppe des jours. (Ghislaine)
Merci à tous pour avoir participé ---------------- https://www.facebook.com/ghislaine.graffard
|
|
|
mihoubi |
Envoyé le : 19/1/2012 19:41
|
Plume de platine Inscrit le: 24/9/2008 De: Bou saada (Algerie) |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Quand le poète dans son langage, tire en averse Et côtoie les foies dans le désert qui traverse La mer se referme sur la mer Et clignote son destin amer ---------------- les années de disette dictent les poètes
|
|
|
cocan |
Envoyé le : 21/2/2012 20:15
|
Plume de platine Inscrit le: 3/1/2012 De: france |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) A mon tour j'arrive, il faut que je me glisse près de vous mon amie, pour ravir sa place dans vos yeux c'est exquis, je lis de la malice mes atours et mon oeil ne vous laissent pas de glace
puisqu'il est parti loin, ne savait donc t-il pas qu'une femme a besoin, d'un homme, non d'une image alors moi je suis lĂ , refaisons pas Ă pas le chemin de l'amour, et ne soyons pas sages
ah vous me résistez, vous êtes donc fidèle vous m'en voyez ravi, il faut que je vous dise c'est votre cher aimant, qui pour tester sa belle m'a ici envoyé, pour jouer ces bêtises
je retourne chez lui, finir ma mission lui confier qu'aujourd'hui, il peut dormir tranquille sa future épousée, résiste à la pression c'est une grande dame, pas une fille facile ! géniale votre idée
amitiés
|
|
|
Chanterelle |
Envoyé le : 22/2/2012 12:17
|
Plume de platine Inscrit le: 19/4/2011 De: |
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Oh! Ma douce colombe, ce mandement de vous A vous rejoindre enfin est cruel plus que fronde! La prison de nos âmes est austère et bien sombre Quand le désir de Dieu nous retient loin de nous! ---------------- "Ni le poète, ni personne d'ailleurs, ne possède la clef ou le secret du monde, je veux être bon." Federico GARCIA LORCA
|
|
|
anonyme |
Envoyé le : 11/4/2012 14:03
|
|
Re: De vous à moi ( Allez Messieurs, Dames, à vos plumes pour une suite....) Joli écrit. Je te répondrais demain, aujourd'hui j'ai posté. IRIS
|
|
|
|