Dans la dimension empire de l’espoir
Le temps plus que l’espace est parsemé de portes
Qui s’ouvrent au soleil du cœur chassant le noir
Ou se ferment sur lui et sur ses ombres mortes.
Dans ma vie longtemps j’ai cuvé le fatal
D’un moment évadé qui s’enferme en un autre
Détournant à mon gré la quête du [total
Amour] sans l’égard du à son paisible Apôtre.
Mais plus humble aujourd’hui je quémande le bien
Du don qui éclatât la plus dure des pierres
Dans le saint de ce sein qui s’apparente au mien
Pour qu’aux portes du temps s’abîment les charnières.
A.Alloun.
P.S/ J’ai fait le vœu de partager, à chaque aube, trois quatrains pensés à jeun, espérant pouvoir en faire 90 à la fin du ramadan…Pour l’amour de la poésie.
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Prière ne pas remonter mes anciens textes, merci
Le tagastin: quand on vit d'amour et de vers, il faut assumer ses coliques!