Jalousie.
Elle Ă©tait absente quand il est parti,
Rejoindre son amante bleue au goût salé.
D’une allure cadencée ils se sont enlacés.
Dans ce monde flou ou il rêvait d’avoir sa vie.
Son cœur est inerte sans lui,
Sa vie n’a plus de chemin.
Elle ressent toujours sa chaleur la nuit,
A l’aube cette saleté de froideur revient.
Elle attend qu’il rentre,
Elle attend en vain.
Elle ne veut rien entendre,
De sa mort pourtant si loin.
Jamais elle n’a aimé l’ensorceleuse,
Son ennemie, sa rivale d’une vie.
Lui ne parlait que d’elle et enviait sa folie,
Par amour pour lui sa haine Ă©tait stagnante.
Sa patience fût vite éteinte,
La rage Ă fini par surgir.
Puis elle s’en est prise à cette sainte,
En choisissant qui d’elles devait mourir.
Elle attend qu’il rentre,
Elle attend en vain.
Elle ne veut rien comprendre,
De sa mort pourtant si loin.
Elle fini par admettre sa mort,
Et choisit pour le suivre, la voie du suicide.
En espérant voir le sang de sa rivale qui se vide.
Mais en sachant qu’elle ne touchera plus jamais son corps.
Maintenant que va-t-elle faire ?
Que va-t-il se passer ?
Ici elle à bien réussi à s’en défaire.
LĂ -bas va-t-elle parvenir Ă la repousser ?
Elle attend qu’il rentre,
Elle attend en vain.
Elle ne veut rien entendre,
De sa mort pourtant si loin.
Elle attend qu’il rentre,
Elle attend en vain.
Elle ne veut rien comprendre,
De sa mort pourtant si loin.
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" être seul dans ces pensées, nous oblige pas à y rester"
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