Une mouche crisse en freinant l'apparition du "Oh!"
Une circulaire passe entre les gouttes de mains
Épaulé, je t'ai vu, la tête en bas de l'escabeau
Ce dont ta voix a mué, au dernier re-frein.
Tu as cherché le poing générant chaque hypothèse
Écrasant la larme d'un moucheron non identifié
Je t'ai léchée un timbre accolé au sol-fa dièse
D'une toux vivace qui descendait d'un paumé.
Sur la RN, par douze, roulent les papiers-nœuds
Le vent s'interpose au prix d'une foule à l'arène
Tu deviens chatoyante en parlant, même aux œufs
Tandis que je crache mon non aux boucheries zen.
Le mousse tique sur le pont à longé l'heure
Un chanteur troue la nuit sans micro-faune
Je mache mes maux, en délimitant ta peur
Lorsque tu divagues sur l'amère scie des drones.
Plus tard que...
La philosophie dans la plénitude du hasard
Élimine les épis des regards sans têtes
Qui s'oublient, sous la pluie, née quelque part
Où tu me rejoins, derrière les lunettes.
Alors, tu éternues "Nietsche!", sans axe, en
Me dessinant une forme alitée de regret
Parce que ton cerveau a pris l'eau, riant
Parce que tes yeux ont dépassé l'éternité.
Selon que le taon se perde en conjoncture
Tu disparais entre les traits d'un fossoyeur
Qui me ressemble comme un melon bien mûr
Qui se tranche comme se fend la rumeur.
Ce sont mes sens qui ululent au printemps
Avec tes lèvres, supérieures à la licence
Qui s'animent en beauté, me déclarant:
"Jeu-thème, d'une profonde heure immense!".
Hubix.
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bonjour à toutes et tous, je viens découvrir ce nouveau site, pour moi, en espérant pouvoir partager la passion de la poésie avec chacun(e) d'entre vous... Merci d'avance...