Pardon, pardon, pardon,
Dans l'ombre de t'aimer,
De trop t’aimer à te blesser,
D'avoir toujours envie de te parler,
De vouloir te sentir tout prêt.
Pardon, pardon, pardon,
De cette relation forcée,
Sur ta route, m’être trouvée
De ne pas en chemin, arrêter
Ces bêtises, à maintes fois répétées.
Pardon, pardon, pardon,
D'avoir cru en tes doux baisers,
Si tendres, sensuels et comptés.
D'avoir toujours l'espoir de te rencontrer.
De cette relation, prendre que la beauté.
Pardon, pardon, pardon,
De rentrer en deuil et encore de pardonner,
Et de croire encore à l'amour des damnés,
Pour que toutes ces épreuves surmontées,
Et que tes sentiments vrais m’aideront à me recoller.
Pardon, pardon, pardon,
Dix milles pardons, pour t’implorer de m’excuser,
Et si tu peux arrêter cet Amour d'un seul coup de fouet,
Délivres- moi en et d'être de la sorte torturée,
Par ton esprit et par ton corps aimé.
Pardon, pardon, pardon,
Penses bien que ce courrier que tu tenais,
Etait voué, comme je te l'avais demandé,
Ce très tendre deux avril a resté,
Pour notre belle aventure, à jamais fermé.
C…, qui malgré sa carapace,
Attend une réponse,
Colère, Amour ou indifférence ?
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Cory