LA MORT DE MON AMOUR...
Ton visage doux, pur, beau
C’est imprégné dans mon esprit.
Tu es mort dans cette eau…
Et mon cri, jeté, de conscrit !
Ce sont ces homophobes,
Ces pitoyables crétins,
Ces misérables sur le globe,
Ces briseurs de destin…
Ta peau blanche
Sous mes doigts
DĂ©clenche
Mon Ă©moi.
Je ne veux que tuer cette racaille,
La voir trembler de peur
La voir plonger dans la faille,
Qu’elle voit venir l’horreur
Mais toi ! Mais toi ! Mais toi !
OĂą es-tu ? Dans le monde des anges ?
L’effroi
Te saignant… N’était-il qu’un orage ?
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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".