Alexandrins, j'excelle au jeu
De rimes à rien ou bien si peu,
Octosyllabes symphoniques
Pour le plaisir et la musique.
Mais puisque la muse me sourit
Et que l'abus de tout me nuit,
J'irai planter du bout du cœur
Mes plus beaux rêves dans les éthers.
Mes jeux de mots se jouent des maux
Sous l'incurable joie de vivre
Posée comme une seconde peau
Sur les reliefs de l'âge tendre.
Et j'écris pour ne pas tomber,
En regardant pousser mes ailes
De parchemin un peu froissé.
Juste plonger face contre ciel.
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Les chansons, c'est ici :
http://www.myspace.com/jeanpaulbarastier
Et les poèmes : http://jpbarastier.over-blog.com
A méditer : «L'intelligence, c'est le seul outil qui permet à l'homme de mesurer l'étendue de son malheur.» Pierre Deproges.