Quand la nuit cesse de s’étendre
Et l’aube surgit, je l’entends
Siffler le temps.
Son timbre mélodieux et tendre
Quelquefois tristes. Il fait mal,
Dans mon mental.

Un souffle confondu s’exprime
Il s’indigne par sa chanson,
Où le frisson
Se mélange avec la déprime,
Les instants ténébreux, oublieux
De trop d’adieux.
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Tendresse et émotion au rendez-vous dans ce poème .
Une autre facette de ta belle poésie et que j'aime bien,Hamid!
Bravo et merci,voisin!

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Prétendre salir l'autre,ne nous nettoie point de nos saletés!!

Driss