Sur mes douleurs exorcisées les mots mous s’hérissent
Et rebroussent leurs chemins vers la sentence hospice
Les broussailles brouillent l’espoir conducteur en huées
J’erre en troubadour sans lyre tâtonnant vers les nuées.
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Je viens de lire un beau poème et la tristesse qu'il véhicule n'est que nature chez l'humain contemplateur qu'il soit triste ou pas au moment de l'écrire,un vrai poème restant Intemporel..
Bravo et merci,Malika!
Bonne soirée!
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Prétendre salir l'autre,ne nous nettoie point de nos saletés!!
Driss