Une image qui fait frémir en voyant ce petit être abandonné, décharné , et à l'idée de ce qui se passerait s'il mourrait là !
Peut-on imaginer son enfer à ce petit bonhomme?
Le coeur se serre et les yeux se mouillent.
La construction particulière de ton poème, avec ses répétitions, ajoute encore de l'intensité au drame.
Le photographe lui a sauvé la vie mais cette image était devenue une hantise pour lui.
Merci du partage Yohann
Nat
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Les haillons de l’amour ne se reprisent pas .
Nataraja.