Sous la bannière, les idéaux
Aux révoltés le dernier mot
S’élève la voix des incompris
Crie la douleur des malappris
Martin Luther
La colère noire étend son voile
Sur la blancheur de cette toile
Où le sang des braves s’éclaircit
Pour figurer la tragédie
L’utopie d’un discours en éveil
Devant la foule s’émerveille
Quand soudain résonne le tonnerre
Même les dieux sont éphémères
Martin Luther
Folie néfaste perdure encore
Dans nos cités hantent les morts
Perversion des âmes dans la tempête
Nul ne pourrait solder la dette
Le temps efface les cicatrices
Mais ne guérit pas l’injustice
La forêt demeure inconsolable
La sève alimente le diable
Martin Luther
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Valli