Re: Libre enfin. (un voeu)
Superbe description de cette fascination/répulsion envers la Muse qui dévoile sans merci au poète, la vision de sa propre âme !
Ô ma plume adorée, ô souffrance,
Que suis-je à ton cœur que ce facteur,
A tes lettres liées, ta potence,
Brise-moi d’une étreinte d’horreur.