"La vague haletante a eu sa peau de tribun
son sang si noir coule comme un fleuve maudit
et la puanteur exhale en des lieux marins,
comme l'enfer infâme dans la mer qui survit"
Bonjour Yann,
Très émue par tes Vers ! Tu sais combien je suis sensible à tout ce qui touche la nature.
J'ai aimé lire tes émotions concernant se bateau perdition.
Toute mon amitié.
Arwen.