Un poème où je me perds entre le rêve (du poète) et une réalité que je comprendrais sublimée… Mais je me perds dans la supputation même si elle me conte l’intelligence allusive des vers et que je trouve cela agréable…
Je me perds aussi dans le temps ou les temps si on veut, mais là je sais, j’ai l’habitude des chemins vicinaux où l’on perd, heureux, la boussole… Celle qui marque le présent, le passé et l’avenir dans l’amour malgré tout…
Une forêt, un bois si vert au cœur du Djurdjura, je n’ai deviné que de loin la maison sur la colline…Et cela me suffit pour dire la magique architecture des lieux(ton texte).
Merci.
Une poésie fraiche et forte!