Nous avions les moyens de nous rapprocher, De déployer nos ailes pour nous rencontrer, Comprendre nos acerbes us et coutumes. Encore un mirage qui se consume !
Que ne vivons-nous dans la concorde ? A nos arcs nous n’avions qu’une corde . L’ entends tu vibrer sous les rafales ? Ses “boiing, boiing” répétés nous font mal .
Ces volutes blanches dans ce ciel gris Traces évanescentes des flèches décochées Sont autant de liens que nous avions tracés Entre nos coeurs à jamais ennemis .
E Phis
Attention : 5 noms différents d'avions ont atterri dans ce poème ! qui les trouvera ?