bonjour Mohaghane,
j'aurais pu écrire ce poème ! Les pères aux abonnés absents sont hélas une catastrophe pour leurs enfants. Le chemin vers la guérison est lent et difficile mais il est possible d'y arriver.
N'enterre pas ta souffrance, regarde la en face c'est le début du renouveau. Et petit à petit la lumière reviendra. Ce beau poème que tu nous offres montre que tu es capable d'affronter ça. Merci du partage!
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Oh! oh! dit le grillon, je ne suis plus fâché ;
Il en coûte trop cher pour briller dans le monde.
Combien je vais aimer ma retraite profonde !
Pour vivre heureux, vivons caché.
Le grillon. Jean Pierre Claris de FLORIAN