Ses herbes foulent ne meurent jamais dans leur rivage
Sauf si l’être humain s’en débarrasser et fait un malheur
Ils ont l’habitude d’être fouetté par le vent et des fois caresser
Mais ils ont peur plus par les êtres humains
Ses herbes foulent me parle
Les souvenirs de mon existence depuis que j’étais môme à maintenant
Merci grande poétesse de ce partage
----------------
les années de disette dictent les poètes