Pour sûr, je le serai ...
Je ne sais si mes mots arrivaient bien Ă temps,
Affectueux, semble-t-il, Ă calmer une plaie,
Tout au moins un moment si ce n'est pour longtemps,
Apaisant cette amie : C'est chose qui me plaît...
Je les vois ces enfants au milieux du vacarme,
Réveillés malgré eux, tous fuyant tant de lieu,
Ne pouvant se retenir, descendent des larmes,
Je ne puis que prier les mains levées aux cieux.
Tout espoir Ă garder pour entendre le chant
Qu'on avait tous l'habitude d'entendre aux champs
Ravivant le climat en priant le bon Dieu...
Je les vois ces enfants au milieu de ces fouilles
A la quĂŞte d'une mie qui tant les embrouille
Une fois leurs parents ont quitté le milieu.
Ahmed, Le 27.08.2014.
Très touchant poème, merci bien fort pour de si inspirant écrit.
Sincères amitiés, Ahmed.Citation :
dolores a Ă©crit :
Forme le sonnet Ă kyrielle.
Seras-tu lĂ ?
Comme un temps de regrets devinant qu’affoler
Que n’aurai-je le choix déposant tout mon charme
Lorsque je serais seule avalant une larme
Seras-tu là l’ami pour sûr me consoler ?
Je n’aurai pas le cœur à tant batifoler
Voyant au tableau noir, leur main tenant une arme
A ces jeunes enfants réveillés d’un vacarme
Seras-tu là l’ami pour sûr les consoler ?
Nul sot ne défiera le doux chant d’espérance
Qui sonne et jette un mot, en maître, la souffrance
Seras-tu là l’ami pour sûr la consoler ?
Au cœur d’une bataille entends cette aberrance
Lever haut l’étendard comme un vent d’assurance,
Seras-tu là l’ami pour sûr me consoler ?
Maria-Dolores
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A propos de moi
L'amour que je loue aux mots et au verbe me tente énormément. C'est la raison qui fait que je me trouve ici . Je navigue donc au gré de la circonstance à travers tous les domaines du savoir, une fois pour lire ce qui me semble beau...
