C'est drôle que tu parles de pommes, alors que je suis en train de "plancher" sur Cézanne, qui lui aussi, à pas mal épuiser le sujet.Ton poème est époustouflant tant au point de vue historique que du style. Du paradis terrestre, à Maurice Chevalier, c'est un grand écart et une mine de renseignements traités sur un ton presque humoristique, disons léger, mais tellement efficace.
Du grand art, mon cher, et quand on sait qu'une pomme chaque matin éloigne le médecin, on ne peut que souscrire à cet hommage en forme de pomme que Satie aurait pu apprécier.
Franchement, un superbe moment !
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