Voici le grand récit d'un héros à la Gérard Lambert pour les connaisseurs. En plusieurs partie car long, je pense 4...
Ecrit pour s'amuser et franchement je me suis amusé
J'y assume les mots, les expressions, l'humour, les dents qui grincent. Voilà pour les choses sérieuses
J'aimerai précisé aussi que toute ressemblance avec une personne ayant vécu ou vivant n'est que pure coïncidence. Pour les personnes à naître et qui un jour pourraient vivre ce genre d'expérience, il existe des solutions simples pour s'en prémunir comme la corde, le gaz, sauter d'un pont, l'empalement...
Je me lance donc
La lettre de l'hôpital
Je bafouille et j'écris sur un lit d'hôpital
La couille du récit et sa testostérone
Je fouille et retranscris, ne souhaitant à personne
Ma trouille, mon dépit, ma journée toute bancale.
Je revois le réveil, une belle matinée
Enivrée de soleil, qui fait sourire d'emblée
Mais les voies du Seigneur sont si impénétrables
L'esprit et ses lueurs, notez! J'en suis capable.
Hommage aux fûts tués dans les préparatifs
Pour trop se la péter le jour de la manif
On y est, mon djembé, ma perruque rasta
Vingt kilos c'est assez de mon précieux tabac.
Ce fut l'abnégation dans mon costume, joyeux
Et quel feu dans l'action mais ces trucs dans leurs yeux
Au creux des bons copains, omniprésente, fatale
La solitude étreint et le front national...
Se tromper de manif, je reconnais l'erreur
On se goure de périph, j'avais dit tout à l'heure
Et je dois mon salut à toi frère clodo
Ton vomis dans la rue fit glisser le facho.
Elle oublie, la doctrine des gens pas sympathiques
Le sang à l'origine nous vient un peu d'Afrique
Puis soudain en tourmente, coup de fil d'un ami
L'histoire est affligeante, pour rimer j'ai que mie.
Bon le pain était bien mais parlons de l'ami
C'est un grand musicien, il fait de très beaux mi
A sa voix étouffée, tremblante, haletante
J'ai de suite deviné qu'il était dans la fiente.
A suivre
Anamorphose
Bon maintenant un peu de serieux
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---------------- Je suis un cartésien désabusé : Je pense, donc je suis mais.... je m'en fous La solitude aspire dès lors où nous aspirons à être solitaires