J'aime ton poème car il parle d'un milieu naturel, social et culturel que je connais assez bien. Certes, la fournaise caniculaire est impitoyable, donc pas question de sortir dehors en plein jour! Cependant les maisons traditionnelles , en pisé, sont idéales pour protéger les villageois de la chaleur ambiante, à l'intérieur, il fait frais!
Tu as dit :
Et l'on a souvent chaud dessous sa djellaba.
Comme toi, je croyais que ces campagnards mouraient de chaleur dans leurs grosses djellabas en laine. Mais c'est le contraire qui est vrai; incroyable mais vrai: Ils n'ont pas du tout chaud! La djellaba les protège de la chaleur et leur corps garde sa température normale! hhhh! Ils sont pas bêtes, nos campagnards!
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Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée
Et je ne suis plus le naufragé!
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Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!