"Tel ce rondeau où tout le cœur palpite,
L’entendez-vous ? Cet organe s’excite,
Il frappe fort mais n’est jamais menteur
Et reconnaît l’œuvre du laboureur
Lorsque le soc exhume la pépite,
Dans le sillon."

En ce qui me concerne,je continue de labourer!

Je suis comme le laboureur de Jean de la Fontaine, vivant et riche, mais, contrairement à lui, ne sens pas,pour l'instant,, ma mort prochaine!

Une belle métaphore de l'inspiration poétique que la tienne!
Mais malgré le recours à Wiki, j'avoue ne pas avoir compris:
"Le byzantin a une âme melchite."

Mais je sais que la poésie oscille toujours entre le clair et l'obscur! Et c'est tant mieux!

Mon amitié
Dumnac