France au visage lacéré,
En ce début de siècle,
Errance dans ces tranchées,
Ou nos poilus sièges.
Cent ans déjà sont passé,
Des familles toujours cherchent,
La présence de leurs aînés,
Sur ces terres à présent inertes.
Tenir à tous prix était leurs devoir,
Sans récompenses ni merci,
Finir par en périr et rien ne savoir,
Enfants de France et çà patrie.
Souvenir des ces hommes tombés,
Sous des ordres souvent oubliés,
Ils on lutés dans une guerre intense,
Pour garder les droits à notre France.
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lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"