Ayant lu votre très pressant billet, ma très chère et noble amie, je me dépèche de vous dire que j'ai croisé le Gascon il y a seulement quelques minutes. Je l'ai pressé de vous retrouver et je ne doute pas qu'il le fera, derrière l'église.
Votre très dévoué Bruno, dit de Keraban.

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J'aime la poésie qui me parle et qui chante

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