Sous les arbres le promeneur
Absorbe la fraîcheur
Les plis de son visage
Laissent place au feuillage
L'image d'un bien être
Lui fait lever la tête
Ses soucis s'évaporent
Et allègent son corps
Un oiseau le salut
Et lui bouche cousue
Commence à chantonner
Mais n'ose pas siffler
Son manque de confiance
S'éparpille dans les branches
Et les arbres charmés
Veulent l'accompagner
L'oiseau et le promeneur
Chantent alors en cadence
En mettant tout leur cœur
Pour meubler le silence
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Geneviève