@ Cyrael Je quitte « ces vastes déserts brûlants » que vous connaissez et j'atteins votre oasis où telle une princesse des sables vous m'accueillez, prenons ensemble le thé noir, je sors de ma gibecière une poignée de dattes de l'année et vous offre ce khôl qui embellira votre regard ….Il vient de Merzouga, une vendeur ambulant un peu sorcier me l'échangea contre une pierre de lune qui lui servira à soigner les douleurs de dos...Merci pour votre accueil
Chers Jugurtha (qui connaît je l'ai bien compris ces paysages), bElhirch, Muguette (dont c'est bientôt la fête!)....un grand merci pour vos encouragements sans oublier Cecel et son aimable regard sur la prosodie.
Amitiés poétiques de Bruno