Si seulement les encouragements que nous pauvres petits gens, pouvaient mettre un steak dans votre assiette... j'en serai heureux. Mais le combat semble encore très dur pour faire reconnaitre votre métier de dévotion auprès des malades et mourants.
Ne baissez pas les bras.
Courage.
Thierry
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C'est toujours celui qui n'a plus rien qui est prêt à tout donner... à méditer.